Méthode Dr Furter
Champs d'application
Toute pathologie traitée par cette méthode doit avoir fait l'objet au préalable d'un diagnostic médical
Aucun traitement médical en cours ne doit être interrompu sans l’avis du médecin
Ci-dessous sont mentionnées les principales indications de la Méthode Dr Furter.
Pour certaines maladies seuls des médecins et des spécialistes ont le droit d’appliquer la méthode. Toutes les contre-indications sont mentionnées très clairement dans toutes les formations.
Les bienfaits de la Méthode Dr Furter sont nombreux :
- Très efficace pour les douleurs chroniques
- Libère les tensions anciennes et profondes
- Agit efficacement sur les symptômes liés au stress et à l’anxiété
- Prévient et soulage les tensions et raideurs musculaires
- Détend les muscles pour redonner une mobilité aux articulations
- Apporte un bien-être physique et psychique global
- Active les processus naturels d’autoguérison du corps
Champs d’application :
- Maux de tête et vertiges
- Troubles de l'appareil locomoteur
- Troubles cardio-vasculaires
- Troubles digestifs
- Troubles du système nerveux
- Troubles du système uro-génital
- Troubles ORL et respiratoires
- Troubles psychiques et émotionnels
- Troubles oculaires
Témoignages de particuliers et de professionnels
Les témoignages sont de belles preuves de l’efficacité de la méthode et de ses nombreuses applications. Toutefois, il est important de préciser que la méthode n’a pas la prétention d'agir sur tous les troubles et tous les cas, ni même garantir un résultat positif total. Le Docteur Furter ne promettait jamais le succès et avait l'habitude de dire à ses patients :
« Attendez 3 jours pour voir ce que peut vous apporter la séance »,
« Attendez 3 séances pour voir ce que peut commencer à vous apporter la méthode »,
« Attendez 3 ans pour voir si le résultat obtenu est durable ».
A
Réf. : CC N°070
Etudiante. 21 ans. 1ère visite : avril 98.
Symptômes : depuis 6 années elle présente des céphalées avec fièvre n.d.d.
Elle est traitée dans plusieurs hôpitaux de Rome, sans résultat et sans qu’il soit possible de trouver une étiologie à sa fièvre. Elle souffre de vertiges, acouphènes, inquiétude, asthénie, douleurs à l’épaule droite.
Thérapie : traitée au cou, épaule droite, région frontale.
Résultats : améliorations après la 2ème séance ; après la 4ème session, seuls les acouphènes persistent.
Contrôle : en juillet 2000, elle a de très rares épisodes de céphalée et de légers acouphènes.
Elle est très satisfaite : "Depuis 1998 j'ai commencé à revivre".
Voir « Règles irrégulières ou abondantes »
Réf. : CC N°005
Mr. D.T., 40 ans, se plaint en octobre 1998 d’angoisses fréquentes, ressenties au niveau du sternum. Depuis 10 jours elles sont accompagnées de palpitations, de sensation de cœur qui s’arrête de battre et d’oppression respiratoire avec besoin d’inspirer à fond. Il se sent dépressif et « mal dans sa peau ». A l’examen, il présente deux zones cutanées très douloureuses, une au niveau de la moitié supérieure du sternum et l’autre au niveau précordial.
Trois séances au niveau de ces deux zones ont fait disparaître les angoisses, l’oppression et les palpitations. Ce monsieur ne se sent plus déprimé et il a retrouvé le goût de vivre.
Un an plus tard, les symptômes n’ont toujours pas récidivé.
Réf. : CC N°003
Monsieur P. 35 ans, consulte en mai 94, car la prise d'un anti-dépressif prescrit par son médecin 3 semaines plus tôt ne lui apporte aucune amélioration.
Il présente en fait depuis quelques mois, allant en s'aggravant, les symptômes suivants :
- un mal-être général ;
- des nausées ;
- une angoisse ressentie à l'épigastre ;
- un dégoût des aliments faisant en sorte qu'il ne s'alimente presque plus.
La plupart de ces symptômes sont ressentis entre l'ombilic et l'estomac. A l'examen il existe une petite zone cutanée de 2 cm de diamètre, très douloureuse à la palpation, située à 3 cm en haut et à gauche de l'ombilic. Une séance de massage de 30 minutes à cet endroit lui permet de retrouver le goût à la nourriture dès le soir même, avec disparition de tous les symptômes dès le lendemain.
A la deuxième séance je localise qu'une zone à peine douloureuse et ce monsieur a retrouvé la joie de vivre et de bien manger. Il a arrêté spontanément les anti-dépresseurs le jour même de la première consultation.
Un an après, je l’ai revu pour d'autres problèmes, les symptômes pour lesquels il avait consulté auparavant n'ont jamais récidivé.
Réf. : CC N°030
Adolescente, 16 ans. Elle est traitée depuis 6 mois pour anorexie mentale. Elle pèse 39,250 kilos pour une taille de 1,60m.
Elle suit une psychothérapie et elle prend le traitement suivant : Thioridazine (MELLERIL) : X X X X gouttes et Miansérine (ATHYMIL) : 10 mg le soir.
Lorsque ses parents me l'amènent en consultation, elle se fait vomir après chaque repas. Elle a eu un bilan hospitalier qui s’est révélé négatif. Par contre, elle signale des brûlures et des crampes gastriques à la prise alimentaire.
J'applique la méthode Furter au niveau du creux épigastrique et de l'hypochondre gauche. Trois jours plus tard, ses parents me téléphonent pour me dire qu'elle ne s'est pas fait vomir depuis que je l'ai traitée.
Je la revois quinze jours plus tard. Elle se fait rarement vomir. Elle pèse 40 kg. Je la traite une nouvelle fois au même endroit de l'abdomen.
Un mois plus tard, elle pèse 43,750 kilos. Elle ne vomit plus. D'elle-même, elle a arrêté son ATHYMIL 10 et a fortement réduit le nombre de gouttes de MELLERIL ; elle n'en prend plus que X gouttes le soir. J'applique une troisième fois la méthode. Elle manifeste le désir de ne plus voir la psychiatre.
L'amélioration de son état s'est confirmée les mois suivants. Elle a 20 ans. Elle pèse 50,500 kg et elle ne présente plus aucun trouble du comportement alimentaire.
Réf. : CC N°036
Homme de 21 ans, mécanicien.
Douleurs thoraciques gauches récentes avec irradiation dans le bras gauche, avec anxiété importante (antécédents familiaux : père infarctus du myocarde).
Application de la méthode sur la région du muscle Grand Pectoral gauche.
Nombre de séances : 4.
Résultat : disparition des symptômes. Recul : 2 ans et demi.
Réf. : CC N°090
Femme, 33 ans, employée.
Diagnostic : anxiété. 1ère visite : octobre 99.
Symptômes : douleurs à la poitrine, crampes à l'estomac, toujours agitée, elle prend Levopraid.
Thérapie : traité au plexus, sur le sternum et sur le dos pendant 8 séances.
Résultat : après la 2ème séance elle diminue de moitié les médicaments parce que les symptômes avaient diminué. Elle a eu une récidive après 5 séances, mais tous les symptômes ont disparu après la dernière séance.
Contrôles : en juillet 2000. Toujours bien, elle n'a pas pris de médicaments depuis 7 mois.
Réf. : CC N°068
Mr A. M. est un septuagénaire retraité, hypertendu, fumeur, qui présente une artérite bilatérale invalidante. Il subit un double pontage fémoro-iliaque. L’opération est parfaitement réussie et son angiologue lui conseille de marcher beaucoup pour favoriser la circulation collatérale mais Mr M. présente des douleurs inguinales bilatérales très importantes. Je constate deux tuméfactions dures au niveau des cicatrices. Les examens ne sont pas concluants, le chirurgien et l’angiologue sont perplexes et ne proposent aucun traitement.
Devant la carence de solution « j’essaie » la technique Furter… à la grande satisfaction du patient qui peut rapidement remarcher normalement.
A ce jour, 5 ans après, ses pontages fonctionnent parfaitement et il continue à marcher sans problème.
Réf. : CC N°128
Homme 68 ans. Artérite des membres inférieurs.
Patient tabagique, présentant depuis 4 mois une artérite bilatérale des membres inférieurs, avec périmètre de marche à 150 m environ et douleurs de décubitus, prédominant à gauche.
A l’examen : pouls distaux non perçus. Pas d'indication opératoire. Sous traitement vasodilatateur. Consulte pour essayer de soulager ses douleurs des mollets avec sensations de crampes malgré le traitement médicamenteux. Les zones traitées manuellement sont les zones douloureuses indiquées par le patient à savoir les 2 mollets. Les 3 premières séances s'avèrent difficiles car le patient ressent douloureusement les massages et il s'agite beaucoup. Après la 4ème séance, faite dans des conditions plus paisibles, on note une amélioration qui va en se confirmant au fil des séances suivantes.
Le périmètre de marche passe à 1000 m. et la qualité du sommeil s'améliore, le patient reprend ses activités habituelles : marche quotidienne, jardinage. A sa demande, on réalise une séance "d'entretien" toutes les 6 semaines à 2 mois et l'amélioration obtenue se maintient à ce jour. (3 ans).
Réf. : CC N°046
Homme de 71 ans, grand fumeur. Il a eu un infarctus du myocarde en 1979 et en 1983. Il a été opéré en 1988 d’un By-pass aorto-fémoral droit pour une sténose importante à ce niveau. Le patient présentait aussi des sténoses périphériques à la jambe droite. Il est venu me consulter en 1991 pour une artérite qui lui permettait une déambulation de seulement 200-300 mètres.
Un Doppler de la même année décelait une sténose fémoro-poplitée à droite avec une importante réduction du flux périphérique et absence du pouls sur la tibiale antérieure et sur la pédieuse.
Il présentait une douleur crampoide au mollet droit et sur le coté intérieure de la cuisse droite.
J’ai commencé à le traiter avec la méthode Furter : massage sur le côté intérieur de la cuisse et au mollet à droite, trois séances à raison d’une fois toutes les trois semaines tout en poursuivant son traitement antérieur.
Le patient a commencé à marcher mieux et il arrive à faire 500 à 600 mètres sans douleur.
Je continue le traitement avec une séance tous les mois pendant 4 mois.
Depuis, le patient marche un kilomètre sans problème et il a repris à jouer aux boules.
Je lui conseille de ne pas arrêter complètement le traitement et lui propose de le revoir 4 fois par an (tous les trois mois).
En 1996 le Doppler n’a pas varié.
Le Doppler fait en 1997 présente une sténose fémoro poplité modérée, absence de flux à la tibiale antérieure et à la pédieuse.
Je continue à le traiter tous les trois mois. Le patient marche tant qu’il veut mais il ne peut pas courir, car dans cette circonstance la claudication apparaît à nouveau.
Le patient est satisfait de sa condition.
En 1998 le traitement se fait une fois tous les six mois et le patient prend toujours son acénocumarol.
Doppler du 2000 : artère du membre inférieur droit avec une discrète vitesse du flux, il y a des sténoses segmentaires diffuses non hémodynamiquement significatives. Absence de flux à la tibiale antérieure et à la pédieuse droite.
Je revoie le patient au mois de décembre 2000, il va toujours bien et continue avec l’acénocumarol.
Réf. : CC N°100
Femme, 62 ans. Diagnostic : arthrite rhumatoïde depuis 22 années. A été traité avec une thérapie de corticostéroïdes et FANS, après avoir utilisé les sels d'or et ciclosporine. La malade est venue à mon cabinet avec béquilles et avec un genou le double plus gros que l'autre. Elle avait été soumise aux infiltrations et aux physiothérapies. La clinique de rhumatologie de l'université lui avait conseillé la chirurgie pour une prothèse au genou. Vu que tous les mouvements du tronc, de la hanche et d'un genou étaient complètement bloqués, j'ai commencé à la traiter sans conviction, presque comme un pari avec moi-même. Après 7 séances au genou la malade est partie sans béquille. Elle a pu marcher normalement et le genou a regagné les dimensions normales de l'autre. Ensuite je lui ai traité aussi le tronc pendant plusieurs séances. A la fin elle a regagné une agilité qu'elle n'avait pas eue depuis des années. Une bosse cervico-dorsale voyante, signe connu d'une longue prise de corticostéroïdes, a aussi été éliminée.
Réf. : CC N°050
Femme, 85 ans, arthrose diffuse, ostéoporose, intolérance aux traitements autres que les antalgiques qui pour elle sont malheureusement d’effet très modeste. Gêne permanente au niveau lombaire bas, prédominante à gauche sur le ligament ilio-lombaire. Radios : insuffisance discale étagée, arthrose inter apophysaire postérieure.
1ère séance douloureuse mais immédiatement efficace, renforcée par 3 autres à une semaine d’intervalle, aboutissant à une disparition de la douleur pendant 3 mois.
Depuis Mme LA est revue occasionnellement dès que réapparaît une douleur à ce niveau, en moyenne tous les 4 à 5 mois.
Réf. : CC N°120
Monsieur, 49 ans, professeur de Mathématiques. A.P. : chute de vélo. Coliques néphrétiques D et G dans les suites d'un traitement par CIBACALCINE. Consultation du 14.02.94 : gonalgies invalidantes. Impossibilité de monter les escaliers, de tenir plus de 10 minutes debout en classe. En 1970, entorses des genoux. En 1972, ménisque-ectomie interne gauche; en 1991, ménisque-ectomie externe gauche. A béquillé pendant 8 mois. Radio : arthrose avancée et algo-dystrophie. Pendant 4 ans, il est amélioré par un traitement homéopathique et ostéopathique. En septembre 1998, il peut monter les escaliers, mais peine encore beaucoup au niveau du genou gauche. J'entreprends, alors, de le traiter par la méthode du Dr FURTER, au niveau du vaste externe et du vaste interne du quadriceps gauche. Après la première séance, il n'a plus de blocage à la marche, le muscle est presque redevenu normal, et deux mois après tout va bien. Le 18 octobre 1999, il revient pour dire « merci ». Il va, à nouveau à la pêche, aux champignons dans les bois, en terrain accidenté, reste une heure debout au tableau, sans problème. L'examen des muscles est normal.
Réf. : CC N°113
Femme 25 ans se plaint fréquemment de vertige, tête vide, concentration difficile, arythmie et tachycardie paroxystique.
La malade localise intuitivement l'origine des problèmes dans la tête et la région du cœur.
Par conséquent, nous avons vérifié les régions indiquées avec la thérapie manuelle et nous avons commencé à traiter les zones douloureuses avec le concept de la thérapie.
Après le 3ème traitement elle a déjà eu un soulagement général perceptible.
Après le 5ème traitement la patiente réfère un changement presque total de ses symptômes. Par sécurité, nous avons pratiqué une séance en plus afin d’assurer la présente condition. La thérapie était hebdomadaire.
La malade est jusqu'à aujourd'hui, 4 mois après traitement, sans rechutes. La jeune femme se sent bien et n’a pas de problèmes.
Elle dit : « Le travail est une source de joie et le stress devient clairement mieux toléré maintenant ».
Réf. : CC N°032
J'ai rencontré H. B. en Espagne, pendant mes vacances, en 1997. Il avait 48 ans et vivait à Paris. Il présentait un asthme d'effort systématiquement quand il riait beaucoup, et lorsqu'il jouait au tennis. Ces manifestations étaient apparues à la suite d'un accident de la route, une dizaine d'années auparavant. Il les attribuait au choc psychologique. Aucun spécialiste parisien consulté n'avait pu l'améliorer.
Je l'ai traité une seule fois. J'ai appliqué la méthode au niveau du pectoral droit et dans la gouttière para vertébrale droite.
Dès le lendemain, Henri fut surpris de pouvoir jouer au tennis sans problème. Le surlendemain fut pareil, et tous les jours de vacances qui lui restaient. De plus, son rire n’était plus suivi de bronchospasme.
Henri m'a téléphoné 9 mois plus tard pour me remercier car jusque-là, il refusait de croire à une guérison aussi merveilleuse.
C
Réf. : CC N°015
L.M. vient pour des douleurs et engourdissement des doigts de la main droite la nuit.
EMG : canal carpien
Va mieux en 3 séances. 6 séances au total.
Pas de récidives 5 ans plus tard.
Réf. : CC N°019
Femme 57 ans. Syndrome du tunnel carpien. 1ère visite : en février 98.
Les symptômes : incapable de plier les doigts, douleurs persistantes aux avant-bras, ne réussit pas à prendre les objets, paresthésies aux mains.
Thérapie : traitée sur l'éminence thénar et sur les deux avant-bras pour 8 séances, une fois par semaine.
Résultats : dès la 2ème séance tous les symptômes ont diminué ; à la 6ème séance : disparition de tous les symptômes et elle peut refaire tous les mouvements.
Recul : novembre 2000 : la patiente continue d'aller bien.
Réf. : CC N°061
Mr R. D. est un septuagénaire dynamique. Il gère encore une importante exploitation agricole dans la Brie et se passionne pour la vannerie et tout cela malgré plusieurs opérations cardiaques (3 pontages coronariens et un anévrysme de l’aorte, plus complications de phlébites pour lesquelles il doit suivre un traitement anticoagulant).
Il est très gêné par un syndrome du canal carpien droit très invalidant, qui l’empêche de tresser son osier. Les médecins portent l’indication opératoire qui est selon eux la seule solution.
Au vu de ses antécédents et les risques, il est très réticent à se faire opérer. C’est en visite chez sa fille, qui est religieuse dans notre région, qu’il apprend qu’une des religieuses du monastère a été guérie de ce même problème sans opération et dès la première séance par la méthode Furter.
Après le 1er traitement il me dit que pour la première fois depuis de nombreux mois, il a pu enfin dormir normalement. Il fait encore une séance chez moi et ensuite il repart dans la région parisienne.
Il vient de m’écrire qu’il avait fait encore 2 séances, chez un confrère parisien pratiquant la même méthode, et ses médecins ont reconnu qu’il n’était plus nécessaire de pratiquer l’opération.
Réf. : CC N°051
Femme, 51 ans. Capsulite rétractile d’épaule droite, d’évolution traînante, bloquée en « phase froide », améliorée de façon spectaculaire en 2 séances à 8 jours d’intervalle puis plus lentement en 5 séances avec récupération totale 4 semaines après la dernière séance.
Cette observation invite à penser que le processus d’évolution vers la phase de récupération a été déclenché par les 2 premières séances de thérapie.
Réf. : CC N°083
Homme, 44 ans. Informateur scientifique. Diagnostic : vertige avec cervicalgies.
1ère visite : juillet 1999.
Symptômes : douleurs continuelles au cou et vertiges qui l’empêchent de conduire la voiture.
Thérapie : traité à droite et gauche de la nuque par 3 traitements hebdomadaires.
Résultats : amélioré après la 1ère séance et problèmes supprimés après la 3ème séance.
Contrôle : octobre 2000. Elle est très satisfaite maintenant et elle m’envoie d'autres malades.
Réf. : CC N°034
Homme 17 ans et demi. Fracture fermée tibia + péroné au 1/3 moyen inférieur. (Ostéosynthèse par clou verrouillé dynamique supérieur)
Douleurs sus malléolaires et région pré tibiale persistant 14 mois après la consolidation de la fracture.
Douleurs apparaissant lors de la course à pied et sensation de « craquements » malléolaire.
Application de la méthode Furter sur le tiers inférieur de la jambe. Nombre de séances : 4
Résultat : disparition totale des douleurs.
Recul : 2 ans et demi.
Réf. : CC N°016
48 ans. Employé.
Diagnostic : recto-colite ulcéreuse depuis décembre 1997.
Symptômes : 4-5 évacuations par jour, avec du mucus et du sang, liquides et informes, il est totalement intolérant aux produits laitiers.
Zone de la thérapie : hypocondre droit, région épigastrique et 2 doigts sous zone ombilicale pendant 7 séances, une fois par semaine.
Résultats : après la 5ème séance les selles sont façonnées normalement. Après la 7ème séance l’intolérance aux produits laitiers est diminuée.
Aujourd’hui le malade n'a plus les symptômes et mange régulièrement les produits laitiers.
Le contrôle au 15.12.2000 montre qu’il continue sans problème.
Réf. : CC N°128
G., 29 ans. Suite à un stress professionnel, il fait une 2ème poussée de recto-colite ulcéro-hémorragique. La 1ère poussée a eu lieu 2 ans auparavant confirmée histologiquement par des prélèvements étagés réalisés au cours d'une coloscopie, et ayant motivé la prescription par un confrère gastro-entérologue, de PENTASA et de dérivés cortisones par voie rectale. Le traitement de la 1ère poussée avait duré environ 4 mois et le patient l'avait de lui-même arrêté devant la disparition de toute symptomatologie.
Lors de notre 1ère consultation, les symptômes sont réapparus depuis 1 mois environ avec des diarrhées glairo‑sanglantes, des douleurs abdominales, un amaigrissement de 3 kgs et une intolérance à tous les fruits et légumes crus. L'abdomen est sensible à la palpation et l'examen révèle des zones très douloureuses en péri ombilical et dans les 2 fosses iliaques. Le patient ne souhaite pas reprendre ses traitements médicamenteux antérieurs, ni aucun autre traitement médicamenteux. Nous lui proposons un traitement manuel auquel il adhère volontiers, conscient des "tensions dans son ventre''. En 3 séances réalisées à une semaine d'intervalle, les douleurs s'estompent, les diarrhées disparaissent ; après 6 séances, le patient peut revenir à une alimentation diversifiée incluant à nouveau légumes et fruits crus.
Après 12 séances, le patient s'estime en rémission complète jusqu'à ce jour (3 ans après la première consultation).
Réf. : CC N°113
Femme 25 ans se plaint fréquemment de vertige, tête vide, concentration difficile, arythmie et tachycardie paroxystique.
La malade localise intuitivement l'origine des problèmes dans la tête et la région du cœur.
Par conséquent, nous avons vérifié les régions indiquées avec la thérapie manuelle et nous avons commencé à traiter les zones douloureuses avec le concept de la thérapie.
Après le 3ème traitement elle a déjà eu un soulagement général perceptible.
Après le 5ème traitement la patiente réfère un changement presque total de ses symptômes. Par sécurité, nous avons pratiqué une séance en plus afin d’assurer la présente condition. La thérapie était hebdomadaire.
La malade est jusqu'à aujourd'hui, 4 mois après traitement, sans rechutes. La jeune femme se sent bien et n’a pas de problèmes.
Elle dit : « Le travail est une source de joie et le stress devient clairement mieux toléré maintenant ».
Réf. : CC N°058
Mlle M. L. est une « femme d’affaires » très occupée. Elle fait de très nombreux déplacements dans différentes villes de France et d’Europe afin d’obtenir des contrats pour son entreprise. Malheureusement pour elle, dès qu’elle se déplace elle souffre d’une constipation opiniâtre qui résiste à tous les traitements et cela malgré une très bonne hygiène de vie (notamment absorption de fibres, boissons abondantes, sport, etc.).
Je la traite 10 minutes selon le protocole habituel et à la séance suivante elle me dit que malgré un déplacement de plusieurs jours à Paris elle a eu plusieurs selles dans la semaine.
Après que la constipation soit guérie, je lui ai soigné le genou gauche, qui lui donnait pourtant du souci depuis 2 ans et pour lequel elle avait subi de nombreux traitements anti-inflammatoires, infiltrations, laser, kinésithérapie (elle a même été brûlée par la physiothérapie), ionisations etc. Le tout s’est arrangé très rapidement.
Elle a pu à la fois continuer ses déplacements professionnels et la course à pied intensive.
Réf. : CC N°127
Mme M., secrétaire, née en 60, présente une constipation chronique depuis son enfance. Pesant 50 kg pour une taille de 1.55, elle obtient une exonération deux fois par semaine par la prise de laxatifs drastiques à base de bourdaine. Les différents traitements à base de mucilages, antispasmodiques associés restent sans effets. Elle accepte de subir une coloscopie en octobre 2000 qui montre un mégadolichocolon et l'histologie des prélèvements biopsiques met en évidence une mélanose colique.
Je propose à Mme M. un traitement viscéral selon la technique du Dr Furter (massage sous ombilical en ellipse). Elle revient pour une 2ème séance.
Elle me téléphone 3 jours après celle-ci pour me demander un rendez- vous pour une 3ème séance, car me dit-elle : « ça marche, je ne prends plus rien ».
Réf. : CC N°056
Patiente : sexe féminin, 17 ans.
Diagnostic : énurésie nocturne et cystite à répétition.
Dès l’âge de 3 mois, elle a eu constamment des problèmes à la vessie. Elle a dû subir 4 fois l’élargissement des tubes urinaires sous narcose. Néanmoins elle présente des infections urinaires continues. Quelquefois elle mouille aussi pendant le jour. Elle a fait par deux reprises une tentative de suicide. Psychothérapie subséquente pendant plusieurs années. Plusieurs autres traitements ont été entrepris, même en clinique, mais sans succès.
1ère visite : 21. 03. 98 (14 ¾ ans) : méthode du Dr Furter au bas ventre.
Une amélioration après deux séances.
07. 98 (4ème consultation) : elle a eu une cystite. Elle continue le traitement du Dr Furter en consultation externe et à la maison.
19.09.98 : elle n’a aucun symptôme.
Recul de 2 années.
Réf. : CC N°055
Sexe féminin, née le 01.06.85.
Diagnostic : énurésie nocturne et infection urinaire périodique. Depuis son bas âge elle présente une infection urinaire périodique avec plusieurs séjours à l’hôpital dès l’âge de 6 ans.
1ère visite : 25.01.99 (14 ½ ans). On utilise la thérapie manuelle d’après le Dr Furter, et la patiente devra se masser le bas ventre tous les jours à la maison.
02. 99, elle mouille seulement une fois par semaine. On continue avec le traitement Furter.
02.05.99 (4ème consultation) : elle a eu une cystite, traitée par le docteur de famille avec antibiotiques. On suggère des séances supplémentaires d’auto-masssage.
09. 99 : pendant ce temps elle a mouillé seulement deux fois.
11. 99 : elle rapporte qu'elle mouille dans la semaine avant sa menstruation. Néanmoins elle est très contente.
Plus de consultations.
D
Réf. : CC N°071
Femme, 56 ans.
Diagnostic : syndrome dépressif.
1ière visite : mars-avril 98. Symptômes : la malade vient au cabinet avec le regard vers le bas, prostrée, sans désir de parler avec les autres. Elle suit un traitement depuis des années avec Talofen, Lymbitril, Trittico, Neurontin et benzodiazépines variés.
Je lui demande : « Quel est votre problème ? ».
Elle répond : « Crise de pleurs ».
Question : « Où est-ce que vos crises commencent ? »
Réponse : « À l'estomac »
Je traite la région épigastrique où j'ai trouvé un « iceberg » énorme.
Résultat : après la 1ère séance les crises de pleurs sont réduites de moitié, la céphalée est diminuée, il reste l'asthénie. Après la 2ème séance les crises de pleurs ont disparu. Après la 6ème son psychiatre lui réduit de moitié la thérapie pharmacologique qui est abandonnée après la 8ème séance.
Contrôle : en mai 2000 elle dit ne pas avoir eu de crise de pleurs et maintenant elle ne prend pas les antidépresseurs et rarement un demi comprimé de benzodiazépine.
Réf. : CC N°005
Mr. D.T., 40 ans, se plaint en octobre 1998 d’angoisses fréquentes, ressenties au niveau du sternum. Depuis 10 jours elles sont accompagnées de palpitations, de sensation de cœur qui s’arrête de battre et d’oppression respiratoire avec besoin d’inspirer à fond. Il se sent dépressif et « mal dans sa peau ». A l’examen, il présente deux zones cutanées très douloureuses, une au niveau de la moitié supérieure du sternum et l’autre au niveau précordial.
Trois séances au niveau de ces deux zones ont fait disparaître les angoisses, l’oppression et les palpitations. Ce monsieur ne se sent plus déprimé et il a retrouvé le goût de vivre.
Un an plus tard, les symptômes n’ont toujours pas récidivé.
Réf. : CC N°003
Monsieur P. 35 ans, consulte en mai 94, car la prise d'un anti-dépressif prescrit par son médecin 3 semaines plus tôt ne lui apporte aucune amélioration.
Il présente en fait depuis quelques mois, allant en s'aggravant, les symptômes suivants :
- un mal-être général ;
- des nausées ;
- une angoisse ressentie à l'épigastre ;
- un dégoût des aliments faisant en sorte qu'il ne s'alimente presque plus.
La plupart de ces symptômes sont ressentis entre l'ombilic et l'estomac. A l'examen il existe une petite zone cutanée de 2 cm de diamètre, très douloureuse à la palpation, située à 3 cm en haut et à gauche de l'ombilic. Une séance de massage de 30 minutes à cet endroit lui permet de retrouver le goût à la nourriture dès le soir même, avec disparition de tous les symptômes dès le lendemain.
A la deuxième séance je localise qu'une zone à peine douloureuse et ce monsieur a retrouvé la joie de vivre et de bien manger. Il a arrêté spontanément les anti-dépresseurs le jour même de la première consultation.
Un an après, je l’ai revu pour d'autres problèmes, les symptômes pour lesquels il avait consulté auparavant n'ont jamais récidivé.
Réf. : CC N°129
Madame G., 27 ans, est suivie pour une spondylarthrite ankylosante. Elle présente depuis novembre 98 des troubles du sommeil avec réveil nocturne, elle est traitée d'abord par antidépresseur (Prozac, Athymil, Xanax), elle est aussi suivie par un psychiatre. Devant l'inefficacité du traitement nous lui proposons de traiter avec la technique son crâne car elle décrit des migraines depuis de nombreuses années. A la 3ème séance elle a arrêté le Xanax, à la 4ème nous débutons l'arrêt progressif de l'Athymil qui sera arrêté à la 6ème séance. Elle se sent bien, plus de maux de tête, plus de troubles du sommeil ni d'état dépressif avec un recul d’un an et demi.
Réf. : CC N°092
Homme, 31 ans. Chauffeur de bus.
Diagnostic : inquiétude et dépression. 1ère visite : octobre 2000.
Symptômes : il ne réussit pas à conduire le bus quand il doit envisager un nouveau parcours. Traité avec Prozac et Clopixol.
Thérapie : traité sur la zone épigastrique 3 fois.
Résultats : après la première séance, il affronte de nouveaux parcours sans grands problèmes, après la 3ème séance il n’a plus de problèmes et il a arrêté le Prozac. Il continue à prendre 3 gouttes de Clopixol chaque 3 jours.
Contrôles : 15.12.2000. Pas de problèmes.
Réf. : CC N°080
Femme. 70 ans.
Diagnostic : dépression, insomnie. 1ère visite : février 99.
Symptômes : insomnie, asthénie, l’œil droit larmoyant ndd. Elle dit : " J'ai envie de ne rien faire ".
Thérapie : traitée dans la région du cou et à l’œil droit par 4 séances hebdomadaires.
Résultats : après la 1ère séance elle est plus calme et dort mieux, après la 3ième séance elle n'a plus de symptômes, elle dort bien, les larmes normales, la patiente est satisfaite.
Contrôle : 19.12.2000, aucun problème.
Réf. : CC N°004
Mme C.S. 74 ans, consulte en avril 1999 pour des symptômes persistants, survenus 6 mois plus tôt en mangeant des calmars : nausées, ballonnements, éructations, douleurs abdominales épigastriques aggravées après avoir mangé, également aggravées par les odeurs fortes ; diarrhée 10 à 15 fois par jour ; goût amer dans la bouche.
Elle ne peut plus manger que des pâtes, tous les autres aliments lui aggravant tous ces symptômes.
Un gastro-entérologue consulté a diagnostiqué une colopathie fonctionnelle et prescrit METEOXANE + DEBRIDAT + SMECTA. Ce traitement a permis de réduire la fréquence de la diarrhée à 4 selles liquides par jour, mais n'a pas d'action franche sur les autres symptômes ; cette dame en est réduite à ne manger que des pâtes.
A l’examen, elle présente : une petite zone douloureuse para-épigastrique droite et une zone un peu plus étendue très douloureuse para-ombilicale droite.
Dès la première séance (20 minutes) elle a pu remanger de la plupart des aliments, tout en ayant arrêté spontanément ses médicaments.
Après 2 autres séances de 20 à 25 minutes au niveau de ces zones douloureuses, à 1 semaine d’intervalle, elle ne présente plus aucun trouble digestif. Elle mange à nouveau de tout. Elle va à la selle 3 fois par jour mais ses selles sont bien moulées (rythme de selles qu’elle a depuis son enfance). Elle n’a plus ni douleur, ni nausée, ni météorisme ni éructation.
Réf. : CC N°086
Garçon, 4 ans. Diagnostic : ankylose des pouces droit et gauche
1ère visite : février 99.
Symptômes : depuis la naissance les phalanges des pouces ne peuvent pas se courber, le pédiatre avait programmé l'intervention.
Thérapie : traitement des pouces des deux côtés : 8 séances.
Résultat : après la 5ème séance la phalange du pouce gauche se libère et après la 6ème se libère la phalange droite.
Contrôle : 20.12.2000 les 2 pouces fonctionnent parfaitement. Enfant et parents sont plus que satisfaits, et me remercient.
Rechercher par localisation.
Réf. : TP 2024.11.26
Vers l’année 2017 je souffrais depuis plusieurs années du symptôme de Dupuytren de ma main gauche. Mon ami docteur Allemand de passage chez moi me propose de me traiter par la méthode du Docteur Furter. Il me prévient que ce n’est pas indolore puisque qu’il n’a pas le temps de prodiguer des soins sur plusieurs interventions. Main sur la table avec cousin interposé il me masse énergiquement l’intérieur de ma main avec son triangle. Les deux premières minutes de massage sont le prélude d’une suite de massages intenses et douloureux, même très douloureux. La séance s’est poursuivie durant un demie heure au moins. Ma main était meurtrie mais me permettait de mouvoir mes doigts. La douleur du massage a persisté au moins durant un mois. Depuis je n’ai plus aucune séquelle ni rechute. Cela fait 7 ans.
Voir « Règles irrégulières ou abondantes ».
Réf. : CC N°094
Femme, 36 ans, artisane. Diagnostic : cystite récidivante. 1ère visite : juin 2000.
Symptômes : tous les 15 ou 20 jours, cystite avec dysurie et pollakiurie.
Thérapie : traitée avec la méthode Furter sur la zone du pubis droite et gauche.
Résultat : les symptômes sont améliorés après la 1ère séance. 4 séances au total.
Contrôle : le 18.12.2000. Elle n'a pas eu de problèmes à la vessie.
E
Réf. : CC N°039
7 mois de recul pour un cas d'endométriose traitée par la méthode Furter. Une avancée pour la médecine ?
Je vois madame M., 31 ans, infirmière. Le 16.4.1999 pour une sciatique gauche qui réagit très bien à trois séances de la méthode Furter espacées d'une semaine. Lors de la troisième séance, elle me parle de ses douleurs abdominales localisées à droite qui surviennent lors de l'ovulation mais surtout au moment de ses règles de couleur marron, l'obligeant à se plier en deux et à appliquer une bouillotte chaude sur son ventre. Son gynécologue évoque une endométriose après échographie, et une cœlioscopie la confirme. En effet on trouve des localisations d'endomètre sur les ovaires et la vessie. Lors de cet examen "un grattage" de ces lésions est effectué.
Un traitement par Décapeptyl, 6 injections intramusculaires à 1 mois d'écart est mis en place, qui a pour but de mettre au repos les ovaires.
Une amélioration de 6 mois s'en suit. Devant le retour des mêmes douleurs et des règles marron, un stérilet est proposé. Puis enlevé car non supporté. Les symptômes reviennent sans tarder.
Je lui propose d'effectuer quelques séances abdominales car l'examen "méthode Furter" localise avec précision la zone douloureuse.
Je pratique 4 séances à 15 jours d'écart.
Depuis, elle ne souffre plus de son abdomen et l'aspect de ses règles est redevenu normal.
Madame M. ne souffre plus, elle est sans médicaments et elle envisage une deuxième grossesse. Sept mois plus tard elle est toujours très contente du traitement.
Réf. : CC N°047
Femme de 34 ans avec diagnostic d’endométriose opérée en 1995. En 1997 douleurs abdominales au moment des règles.
L’échographie abdominale signale une reprise de l’endométriose. Les douleurs sont localisées au-dessous de l’ombilic et au-dessus du pubis, au centre.
Je la traite avec la méthode Furter : 3 séances à raison d’une fois tous les 15 jours. Je lui conseille au besoin, un analgésique. Suite à ce traitement la malade a eu beaucoup moins mal au moment de ses règles et elle n’a pris que deux comprimées pour la douleur.
Je la revoie après trois semaines, les règles se sont bien passées avec une douleur très supportable.
Un mois après la malade va toujours bien, elle n’a presque plus de douleur. Je la revoie après deux mois : elle ne prend plus d'analgésiques, elle va très bien. Je conseille une écographie de contrôle que la patiente refuse.
Au mois de février 2000 elle me téléphone, pour me dire qu’elle va toujours bien et qu’elle est devenue mère d’une fille 3,400 Kg.
Réf. : CC N°125
Madame L., 41 ans, diabétique insulinodépendante, se plaint depuis de nombreuses années de douleurs aux épaules avec perte importante des mobilités. Déjà explorée, traitée, sans succès (Kiné, anti-inflammatoires). Nous avons débuté par l'épaule droite, la plus atteinte. Après 3 séances, quelques bleus et douleurs, elle a gagné 20° sur les rotations externes et peut lever le bras à 90°. A la 5ème séance, elle revient avec un grand sourire, elle a pu rejouer au basket et marquer son premier panier. Nombre de séances faites sur cette épaule : 6. Nous venons d'attaquer l'épaule gauche ; après 4 séances elle est bien améliorée et nous avons maintenant un recul de 9 mois sur l'épaule droite qui se maintient bien.
Réf. : CC 2024.11.06
Traduit de l’allemand (version originale ci-dessous)
Homme 57 ans
Déchirure du tendon supraspinatus de l'épaule gauche. Douleurs et nette limitation des mouvements. Objectif souhaité. Le patient souhaite pouvoir à nouveau effectuer un service de volley-ball au-dessus de la tête. Après 6 traitements, il n'a plus de douleurs et le mouvement souhaité dans le sport est à nouveau possible. Il y a un traitement à intervalles plus longs pour que le bon état perdure.
Mann 57 Jahre
Sehnenanriss Supraspinatus an der linken Schulter. Schmerzen und deutliche Bewegungseinschränkung. Gewünschtes Ziel. Patient möchte wieder einen Volleyballaufschlag über den Kopf ausführen können. Nach 6 Behandlungen ist er schmerzfrei und die gewünschte Bewegung im Sport ist wieder möglich. In größeren Abständen gibt es eine Behandlung, damit der gute Zustand anhält.
Réf. : CC N°084
Femme au foyer. 45 ans.
1ère visite : octobre 99.
Symptômes : depuis 25 années elle est épileptique avec 3 à 4 épisodes "d’absences" par jour.
Sous traitement Tegretol.
Alors que je la traite pour une douleur au dos, la famille remarque que les absences sont différentes. (EEG 26.10.99. Conclusions : anomalies de type irritative, de dimension discrète, sur les territoires temporaux).
Thérapie : traitée sur les cotés droit et gauche du dos et du cou, aussi sur la zone du temporal gauche et le front : 7 séances hebdomadaires.
Résultat : après la 3ème séance les absences sont plus brèves et elles sont interrompues si la patiente est stimulée. Après la 5ème séance la patiente rapporte n’avoir eu que 2 épisodes durant la semaine. Après la 7ème séance elle annonce n’avoir que 4 à 6 épisodes par mois.
Contrôle : EEG 29.12.99. Conclusions : modestes anomalies non spécifiques.
20.12.2000 : accuse que 4 à 5 épisodes par mois.
Réf. : CC N°031
Femme, âgée de 63 ans, présente des bronchectasies conséquence d'une coqueluche de l'enfance, connues depuis 1988 et localisées selon le scanner de l'époque, à la pyramide basale gauche. Quand Mme V. me consulte en 1999, elle présente depuis 10 ans une gêne respiratoire chronique, une expectoration très fréquente, des épisodes infectieux multiples et de nombreux bronchospasmes. Un traitement fluidifiant est régulièrement pris, plusieurs cures thermales ont été faites, ainsi que de la kinésithérapie. Une intervention chirurgicale d'exérèse a été proposée à la patiente.
Je lui parle de la méthode du Dr Furter. Elle l'accepte et je la traite au niveau du grand pectoral gauche et au niveau des premières vertèbres dorsales et de l'omoplate gauche. Je la revois 15 jours plus tard. Elle dit que sa gêne respiratoire est nettement moins importante. Elle expectore plus facilement. Je la traite aux mêmes endroits mais de façon bilatérale. Je l'ai traitée 6 fois à raison d'une séance tous les 15 jours, au niveau du thorax de façon bilatérale. Progressivement, le volume de l'expectoration a diminué et s'est pratiquement tari. La dyspnée a disparu.
Depuis 1 an, elle n'a présenté aucune infection respiratoire, ni bronchospasme. Tout traitement médicamenteux a été arrêté. La solution chirurgicale est définitivement écartée. J'ai proposé un scanner de contrôle, mais Mme V., trop contente de sa guérison actuelle, ne l'a pas accepté.
Réf. : CC N°107
Une de mes patientes, 72 ans, souffrait depuis des mois de problèmes cardiaques (tachycardie, palpitations, dyspnée, modification de la tension artérielle, vertiges périodiques). Je l'avais visitée plusieurs fois pour ne trouver aucune maladie organique (examens RX, ECG, etc.). Donc, j'avais diagnostiqué « problèmes psychosomatiques » sans aucune amélioration. Elle m’avait signalé une zone un peu enflée et douloureuse sur le thorax gauche, dans la région cardiaque. Je lui avais dit de ne pas s'inquiéter parce que c'était une tension musculaire simple. Après avoir appris la méthode du Dr Furter, j'ai eu l'occasion de la revoir. Elle se plaignait toujours des mêmes problèmes. La première chose que je lui ai dit : " Mme, vous avez raison de vous plaindre ; maintenant, je pense pouvoir vous aider, nous utiliserons une autre thérapie ".
J’ai pratiqué 3 séances de thérapie manuelle Furter sur la zone dont la dame se plaignait (thorax antérieur gauche dans la zone para cardiaque) et tous ses problèmes ont disparus.
J’ai traité environ 30 cas semblables ; le nombre des séances a été en moyenne de 4, avec autour de 90% de succès.
Réf. : CC N°098
Femme de 65 ans, elle vient à mon cabinet sur les conseils d'une amie que j'ai traitée pour céphalée.
À la première visite la malade commence à décrire son symptôme principal : « Docteur, mon souffle, je suffoque et je manque d'air ». Elle me parle en portant la main droite sur la poitrine. « Je réussis à respirer un peu, seulement si je m'assois sur mon divan. Personne ne me croit, depuis 11 ans je prends beaucoup d'hypnotiques et euphorisants parce que tous les médecins consultés disent que je suis stressée, déprimée et inquiète. J'ai aussi perdu le contact avec mes enfants parce qu'ils me font des reproches. Ils disent que j'exagère et que je ne réagis pas, mais moi, docteur, je me sens si mal, je n’ai pas de souffle et j'ai la terreur quand il y a des tempêtes et que le ciel devient sombre. La première chose que je fais, avant de sortir, est de regarder le temps parce que s'il pleut ou si le ciel est noir je reste à la maison. Je dois toujours être accompagnée par quelqu’un ».
Après avoir expliqué à la malade ce qu’est la méthode Furter, nous avons commencé le traitement. Après 8 séances sur la poitrine, plexus et sur la zone cervicale dorsale, la situation est retournée à la normalité et la malade dit qu’elle a complètement changé.
Réf. : CC N°078
Femme. 45 ans. Employée.
Diagnostique : dyspnée et tachycardie. 1ère visite : Avril 99.
Symptômes : inquiétude avec dyspnée et tachycardie, 3 à 4 épisodes par jour en moyenne.
Thérapie : traitée sur la poitrine et sur le dos : 6 sessions hebdomadaires.
Résultats : les symptômes ont diminué après la 1ère session, ils ont disparu après la 4ème séance.
Contrôle : Octobre 99. Elle n'a plus de problèmes.
Réf. : CC 2024.11.06
Traduit de l’allemand (version originale ci-dessous)
Femme de 47 ans
Brûlures d'estomac récurrentes lorsqu'elle mange trop tard le soir. Avec un traitement tous les 2 mois, les troubles restent dans une bonne fourchette.
Frau 47 Jahre
Immer wieder Sodbrennen, wenn sie zu spät am Abend isst. Mit einer Behandlung im Abstand von 2 Monaten halten sich die Beschwerden im guten Rahmen.
F
Rechercher par localisation :
" À quel endroit dans votre corps (où) ressentez-vous votre fatigue ? "
Pour comprendre l’approche du Dr Furter, nous vous invitions à lire ses écrits (rubrique : LA MÉTHODE / Ecrits du Dr Furter).
G
Réf. : CC N°027
Femme de 74 ans opérée de cholécystectomie et de l’hernie hiatale en 1990. Malgré cela elle continue à souffrir de l'estomac tous les jours tout en prenant du Mopral et du Gaviscon depuis 1996. Toute tentative d’arrêt de ces drogues se solde par une recrudescence de ses douleurs. Elle souffre quotidiennement. Elle ne peut se permettre aucun écart. Elle ne peut plus prendre le moindre alcool. La connaissant bien je lui propose une méthode manuelle que l’on doit à un médecin suisse le Dr Furter. J’applique la méthode avec un certain scepticisme. Je suis étonné comme elle, de trouver en regard de l’estomac des zones très douloureuses que je traite pendant quelques minutes. Je lui explique qu’il faudra probablement plusieurs séances pour la soulager. Qu’elle n’a pas été mon étonnement quand trois semaines plus tard elle me téléphone pour me dire qu’elle ne prend plus de Mopral, qu‘elle n’a plus mal et qu’elle s’est permise de prendre quelques apéritifs sans éprouver la moindre douleur. Par contre elle a continué le Gaviscon (malgré la disparition des douleurs) au cas où elle aurait mal, et elle me demande ce qu’elle doit faire. Le seul inconvénient est la présence d’un hématome de la paroi abdominale douloureux pendant 4 à 5 jours. Je pratique une autre séance, bien qu'elle se sente encore bien. La zone traitée est beaucoup moins douloureuse que la première fois. Devant l’effet spectaculaire de mon traitement elle pense que je lui ai réduit sa hernie hiatale manuellement ! Je lui demande de me contacter pour une autre séance si sa gastralgie revenait. A ce jour elle va toujours bien.
Au total, soulagement et même guérison d’une gastrite chronique traitée sans succès par des inhibiteurs de la pompe à protons (Mopral) et topiques gastriques depuis 5 ans chez une patiente opérée d’une lithiase biliaire et d’une hernie hiatale il y a 10 ans.
Réf. : CC N°087
Femme, 54 ans, infirmière.
Diagnostic : gastrite érosive.
1ère visite : juin 2000.
Symptômes : douleurs, brûlures, acidités continuelles malgré la thérapie avec inhibiteurs.
Traitement : sur la zone épigastrique pendant 3 séances.
Résultats : après la 1ère séance les symptômes ont disparu.
Contrôle : décembre 2000 pas de récidives et elle va bien.
Réf. : CC N°029
Homme, né en 1924. Devra se faire opérer du genou droit : douleurs, grosseurs.
Radio : usure importante lésionnelle interne donnant un pincement articulaire interne.
4 séances entre le 12/06/98 et le 03/07/98. Les zones à travailler sont au-dessus et au-dessous du genou en interne. Résultat : beaucoup amélioré.
3 autres séances de 11/98 à 12/98.
Très bon résultat, un an de recul.
Réf. : CC N°100
Femme, 62 ans. Diagnostic : arthrite rhumatoïde depuis 22 années. A été traité avec une thérapie de corticostéroïdes et FANS, après avoir utilisé les sels d'or et ciclosporine. La malade est venue à mon cabinet avec béquilles et avec un genou le double plus gros que l'autre. Elle avait été soumise aux infiltrations et aux physiothérapies. La clinique de rhumatologie de l'université lui avait conseillé la chirurgie pour une prothèse au genou. Vu que tous les mouvements du tronc, de la hanche et d'un genou étaient complètement bloqués, j'ai commencé à la traiter sans conviction, presque comme un pari avec moi-même. Après 7 séances au genou la malade est partie sans béquille. Elle a pu marcher normalement et le genou a regagné les dimensions normales de l'autre. Ensuite je lui ai traité aussi le tronc pendant plusieurs séances. A la fin elle a regagné une agilité qu'elle n'avait pas eue depuis des années. Une bosse cervico-dorsale voyante, signe connu d'une longue prise de corticostéroïdes, a aussi été éliminée.
Voir « Tendinite ».
H
Réf. : TP 2024.11.29
Je souhaite témoigner d’un cas que j’ai vu personnellement. Un ami à moi avait un hoquet ininterrompu depuis de longues semaines. Toutes les quelques secondes il avait une contraction des muscles qui l’épuisait de tout son corps. Après plusieurs semaines son état de fatigue était si important qu’il était au lit, il n’avait plus aucune force, ne parlait presque plus, et les pronostics du médecin de famille n’étaient pas réjouissant. Face à cette situation grave, son ami de longue date, le Dr Furter, fit le déplacement depuis la Suisse pour venir le traiter. J’ai souvenir qu’il lui appliqua la méthode longtemps sur le dos et le thorax, en faisant beaucoup de pauses. Le lendemain, après avoir passé une bonne nuit, son hoquet s’est interrompu et il n’est jamais revenu.
Réf. : CC N°042
Boucher de 38 ans sans antécédent particulier. Présente une hypertension "essentielle" depuis 2 ans, découverte lors d’une poussée paroxystique à 180/115. Tension traitée par Bêta-bloquant (SOPROL) puis inhibiteurs calciques (ISOPTINE).
Traitement manuel : 12 séances cervicales et crâniennes.
Résultat : normalisation de la tension artérielle de façon stable (Hypotension sous conservation du traitement médicamenteux). Recul : 4 ans sans traitement complémentaire ni rechute.
Réf. : CC N°066
Mme D. P. est une infirmière qui, suite à un vaccin DTTAB, présente une Glomérulonéphrite qui entraîne une hypertension artérielle avec troubles du rythme cardiaque.
Le traitement Bêta-bloquant est très mal supporté et sans effet thérapeutique. Après quelques séances avec la méthode Furter les troubles du rythme ont disparu et la tension artérielle est parfaitement normalisée sans aucun traitement médical.
Le résultat se maintient depuis plusieurs années sans aucun remède.
Cet exemple montre bien que même dans les hypertensions artérielles secondaires le traitement est efficace et durable.
Je ne compte plus le nombre d’hypertensions artérielles essentielles qui ont été améliorées et guéries par le traitement.
I
Réf. : CC N°056
Patiente : sexe féminin, 17 ans.
Diagnostic : énurésie nocturne et cystite à répétition.
Dès l’âge de 3 mois, elle a eu constamment des problèmes à la vessie. Elle a dû subir 4 fois l’élargissement des tubes urinaires sous narcose. Néanmoins elle présente des infections urinaires continues. Quelquefois elle mouille aussi pendant le jour. Elle a fait par deux reprises une tentative de suicide. Psychothérapie subséquente pendant plusieurs années. Plusieurs autres traitements ont été entrepris, même en clinique, mais sans succès.
1ère visite : 21. 03. 98 (14 ¾ ans) : méthode du Dr Furter au bas ventre.
Une amélioration après deux séances.
07. 98 (4ème consultation) : elle a eu une cystite. Elle continue le traitement du Dr Furter en consultation externe et à la maison.
19.09.98 : elle n’a aucun symptôme.
Recul de 2 années.
Réf. : CC N°055
Sexe féminin, née le 01.06.85.
Diagnostic : énurésie nocturne et infection urinaire périodique. Depuis son bas âge elle présente une infection urinaire périodique avec plusieurs séjours à l’hôpital dès l’âge de 6 ans.
1ère visite : 25.01.99 (14 ½ ans). On utilise la thérapie manuelle d’après le Dr Furter, et la patiente devra se masser le bas ventre tous les jours à la maison.
02. 99, elle mouille seulement une fois par semaine. On continue avec le traitement Furter.
02.05.99 (4ème consultation) : elle a eu une cystite, traitée par le docteur de famille avec antibiotiques. On suggère des séances supplémentaires d’auto-masssage.
09. 99 : pendant ce temps elle a mouillé seulement deux fois.
11. 99 : elle rapporte qu'elle mouille dans la semaine avant sa menstruation. Néanmoins elle est très contente.
Plus de consultations.
Réf. : CC N°054
Sexe masculin, né le 16.02.86.
Diagnostic : énurésie nocturne, mal à la tête, rhume des foins.
A fait de la psychothérapie durant plus d’une année et demie. A partir de 17 heures il ne prend plus de liquides. Toutes les nuits il se réveille pour aller aux toilettes, mais le problème persiste.
1ère visite : 27.08.96. Thérapie : traitement du bas ventre par la méthode du Dr Furter.
A la maison il se masse avec l’aide de sa mère, 15 à 20 min par jour au même endroit.
Contrôle : 07.10.96. Il ne mouille plus son lit.
Réf. : CC N°129
Madame G., 27 ans, est suivie pour une spondylarthrite ankylosante. Elle présente depuis novembre 98 des troubles du sommeil avec réveil nocturne, elle est traitée d'abord par antidépresseur (Prozac, Athymil, Xanax), elle est aussi suivie par un psychiatre. Devant l'inefficacité du traitement nous lui proposons de traiter avec la technique son crâne car elle décrit des migraines depuis de nombreuses années. A la 3ème séance elle a arrêté le Xanax, à la 4ème nous débutons l'arrêt progressif de l'Athymil qui sera arrêté à la 6ème séance. Elle se sent bien, plus de maux de tête, plus de troubles du sommeil ni d'état dépressif avec un recul d’un an et demi.
Réf. : CC N°080
Femme. 70 ans.
Diagnostic : dépression, insomnie. 1ère visite : février 99.
Symptômes : insomnie, asthénie, l’œil droit larmoyant ndd. Elle dit : " J'ai envie de ne rien faire ".
Thérapie : traitée dans la région du cou et à l’œil droit par 4 séances hebdomadaires.
Résultats : après la 1ère séance elle est plus calme et dort mieux, après la 3ième séance elle n'a plus de symptômes, elle dort bien, les larmes normales, la patiente est satisfaite.
Contrôle : 19.12.2000, aucun problème.
K
Réf. : CC 2024.11.06
Traduit de l’allemand (version originale ci-dessous)
Femme de 36 ans
Kyste sur l'ovaire droit. D'après l'échographie, 4 cm. Douleurs récurrentes et intenses pendant plusieurs jours. 5 traitements, après quoi le kyste s'est dégonflé. Les symptômes ne sont plus jamais réapparus.
Frau 36 Jahre
Zyste auf dem rechten Eierstock. Laut Sonographie 4 cm. Tageweise immer wieder stärkere Schmerzen. 5 Behandlungen, danach hat sich die Zyste entleert. Beschwerden nie mehr aufgetreten.
L
Réf. : CC N°009
C.S., 63 ans. Lombalgie chronique à prédominance matinale depuis plusieurs années.
RX : arthrose lombaire, discopathies dégénératives L4-L5-S1.
Amélioration dès la 5ème séance. 8 séances au total. Va bien avec un recul de 6 mois.
Réf. : CC N°036
Homme de 21 ans, mécanicien, présentant des douleurs de la région lombaire gauche.
Début des troubles depuis plus de 5 ans.
Crises douloureuses rythmées par les activités sportives et les efforts de son activité professionnelle.
Au moins un épisode de lumbago sciatique gauche type L5-SI. Traitements précédents : AINS, myorelaxants, antalgiques, repos, kinésithérapie... avec pour seul résultat une atténuation des symptômes.
Application de la méthode Furter dans la région lombaire et fessière gauche. Nombre de séances : 4.
Résultat : disparition des douleurs. Recul : 3 ans et demi.
Même patient, douleurs thoraciques gauches récentes avec irradiation dans le bras gauche, avec anxiété importante (antécédents familiaux : père IDM)
Application de la méthode sur la région du muscle Grand Pectoral gauche.
Nombre de séances : 4
Résultat : disparition des symptômes. Recul : 2 ans et demi.
Réf. : CC N°067
Mme D. J. est enceinte pour la troisième fois et me dit : « Docteur, je sais qu’on ne peut rien faire pour mon lumbago, le gynécologue me l’a bien dit, d’ailleurs mes deux précédentes grossesses j’ai dû les passer alitée tout le temps ».
Je l’ai traitée malgré l’avis de son gynécologue et elle a pu vaquer à ses occupations pendant toute sa grossesse et accoucher d’un superbe garçon de 3.700 kg en pleine forme.
Réf. : CC 2024.11.06
Traduit de l’allemand (version originale ci-dessous)
Homme de 73 ans
Lumbago, blocage de l'articulation sacro-iliaque gauche. 3 traitements, complètement libéré de la douleur.
Mann 73 Jahre
Hexenschuss, Blockierung des linken Kreuz-Darmbeingelenks. 3 Behandlungen, komplett schmerzfrei.
M
Réf. : CC N°091
Femme, 22 ans. Diagnostic : déboîtement de l’articulation temporo-mandibulaire.
1ère visite : 06/00.
Symptômes : elle ne réussit pas à ouvrir la bouche et elle est forcée à porter un appareil orthodontique pour stabiliser la mâchoire.
Thérapie : traitée 3 fois sur l'articulation temporo-mandibulaire droite.
Résultat : après la 1ère séance elle ouvre la bouche, après la 2ème séance, elle ne veut pas mettre l'appareil, après la 3ème plus de problème pour bouger la mâchoire.
Contrôle : en décembre 2000 elle n'a pas de problèmes.
Réf. : CC N°036
Diagnostic : granulome des cordes vocales.
Une dame de 53 ans suit le traitement Furter pour polyarthrite, asthme bronchial et une scoliose prononcée. Suite à son travail (elle est professeur) les cordes vocales ont été endommagées. En plus elle souffre d’une lésion à la corde vocale droite causée par une intubation. Un spécialiste a diagnostiqué un granulome à la même corde vocale en septembre 1998. Puisqu’il y a eu un grand nombre de récidives, je lui conseille de ne pas se faire opérer et en attendant d’épargner sa voix. Puisqu’en utilisant la thérapie manuelle du Dr Furter elle a été soulagée pour ses autres maladies (rhumatisme, asthme, scoliose) je lui ai proposé de commencer le traitement manuel également pour le granulome.
Je lui ai traité sa gorge chaque fois que j'avais le temps.
Depuis approximativement une année on ne détecte pas de granulome.
Réf. : CC N°069
Etudiante, 16 ans.
1ère visite : mars 98. Symptômes : migraines tous les jours depuis six mois.
Thérapie : traitée au cou et au dos : 2 sessions hebdomadaires.
Résultat : les migraines sont disparues dès la 1ère séance.
Récidive en février 99. Après un traitement la migraine redisparait.
Contrôle : jusqu’à maintenant (janvier 2000) aucun problème de migraine.
Réf. : CC N°070
Etudiante. 21 ans. 1ère visite : avril 98.
Symptômes : depuis 6 années elle présente des céphalées avec fièvre n.d.d.
Elle est traitée dans plusieurs hôpitaux de Rome, sans résultat et sans qu’il soit possible de trouver une étiologie à sa fièvre. Elle souffre de vertiges, acouphènes, inquiétude, asthénie, douleurs à l’épaule droite.
Thérapie : traitée au cou, épaule droite, région frontale.
Résultats : améliorations après la 2ème séance ; après la 4ème session, seuls les acouphènes persistent.
Contrôle : en juillet 2000, elle a de très rares épisodes de céphalée et de légers acouphènes.
Elle est très satisfaite : "Depuis 1998 j'ai commencé à revivre".
Réf. : CC N°129
Madame G., 27 ans, est suivie pour une spondylarthrite ankylosante. Elle présente depuis novembre 98 des troubles du sommeil avec réveil nocturne, elle est traitée d'abord par antidépresseur (Prozac, Athymil, Xanax), elle est aussi suivie par un psychiatre. Devant l'inefficacité du traitement nous lui proposons de traiter avec la technique son crâne car elle décrit des migraines depuis de nombreuses années. A la 3ème séance elle a arrêté le Xanax, à la 4ème nous débutons l'arrêt progressif de l'Athymil qui sera arrêté à la 6ème séance. Elle se sent bien, plus de maux de tête, plus de troubles du sommeil ni d'état dépressif avec un recul d’un an et demi.
Réf. : CC N°017
Femme, 52 ans. Une migraine chronique est diagnostiquée en juillet 98.
Symptômes : migraine persistante avec paresthésie tous les jours à la main droite.
Thérapie : traitée au cou et au dos entre les omoplates pour 5 séances.
Résultats : les migraines ont disparu après 2 traitements. La paresthésie a disparu après le 3ème traitement.
Contrôle : en octobre 2000 pas de récidives.
Réf. : CC N°018
Femme, 48 ans. Diagnostic : névralgie trigéminale droite depuis avril 98.
Symptômes : elle souffre depuis 15 ans, et elle a pratiqué toutes les thérapies pharmacologiques possibles sans résultat. Elle n’arrive même pas à manger, parler ou sourire car la crise commence dans une forme douloureuse et violente. Elle pense l’opération chirurgicale afin de se faire sectionner le nerf.
Thérapie : traitée à l’articulation temporal mandibulaire droite jusqu'au menton pour 12 séances hebdomadaires.
Résultats : après la 4ème séance elle parle sans douleur et elle a bien dormi 4 nuits ; dès la 10ème séance elle ne présente plus de symptômes importants et elle est très satisfaite.
Contrôle : en 99 il n’y a plus de problème.
En mai 2000 retour d'une légère douleur, traitée encore par 4 séances. En décembre 2000, elle ne présente pas de symptômes importants et elle va bien.
Réf. : CC N°020
Patient de 32 ans. Diagnostic : céphalée. Début traitement : mai 98.
Symptômes : céphalée persistante, journalière, résistante à la thérapie pharmacologique.
Thérapie : sur l’occiput droit et gauche et au cou. En tout, 4 séances hebdomadaires.
Les résultats : la céphalée a disparu dès la 2ème séance.
Contrôle : juin 2000 pas de récidive.
Réf. : CC N°076
Femme au foyer. 46 ans.
1ère visite : mai 99.
Symptôme : céphalée persistante, tous les jours et résistante à la thérapie pharmacologique.
Thérapie : traitée au niveau du cou, 8 fois. Une séance par semaine.
Résultats : après la 3ème séance l'intensité de la céphalée diminue. Après la 4ème séance la céphalée disparaît.
Contrôle : en octobre 99. Céphalée légère pendant le cycle menstruel de septembre. En décembre 2000 : céphalées rares et contrôlées.
Réf. : CC N°106
Mme A.B. 37 ans, me dit avoir consulté un gynécologue à cause d’une migraine survenant lors des menstruations. Le gynécologue lui avait dit que la migraine était due aux problèmes hormonaux et elle lui a donné quelques analgésiques forts.
Je demande à la dame : « Est-ce que la migraine apparaît seulement pendant la menstruation ou également en d’autres circonstances ? ». Elle répond : « A dire vrai je la ressens souvent ; ma famille rit de moi parce que, pendant les crises de migraines, je me mets un foulard étroit autour de la tête pour mieux supporter la douleur ».
Je lui demande : « Est-ce qu'il y a quelqu'un dans votre famille qui souffre aussi de migraine ? ». Elle me répond : « Oui, ma mère, mon frère, ma sœur ». Je lui explique que sa migraine est d'origine héréditaire et ne dépend pas du cycle menstruel (argument son frère en souffre aussi !). Je lui demande où elle sent sa douleur de tête. Avec une main elle me signale les tempes. Je commence le traitement avec la « Méthode Furter » aux tempes, sur le front, à la base du crâne et le long des cervicales, une fois par semaine. Après la première séance la dame n'avait plus de mal de tête. Nous avons effectué 4 traitements pour être sûr que pendant le cycle menstruel la dame n’aurait pas eu de migraine.
Dès la première séance la patiente n'a plus souffert de migraine.
Nous avons traité approximativement 150 personnes qui se plaignaient de migraines avec la méthode Furter, avec environ 80% de succès. Le nombre de séances a varié entre 3 à 8 avec un cas pour lequel il a fallu 22 séances.
Réf. : CC N°013
Homme, 75 ans. Envoyé par sa fille médecin pour sciatique L5, mais surtout cervico-brachialgie depuis des mois sans amélioration. Avis d’un prof. de chirurgie orthopédique : « canal cervical étroit ».
4 séances cervicodorsales : disparition complète des douleurs.
Il revient pour ses lombaires : 4 séances, il va bien.
Réf. : CC N°021
Femme, 71 ans, retraitée. Douleurs lombaires et sciatique. 1ère visite : en septembre 98.
Symptômes : incapable de marcher à cause de douleurs violentes, localisées au côté droit de la fesse et à la jambe droite.
Thérapie : traitement à la fesse droite et hanche droite, 3 séances à raison d’une par semaine.
Résultats : après la 1ère séance elle peut marcher seule, après la 3ème séance les symptômes ont complètement disparu. Contrôle en septembre 99 : la femme me confirme son bien-être.
Réf. : CC N°036
Homme de 21 ans, mécanicien, présentant des douleurs de la région lombaire gauche.
Début des troubles depuis plus de 5 ans.
Crises douloureuses rythmées par les activités sportives et les efforts de son activité professionnelle.
Au moins un épisode de lumbago sciatique gauche type L5-SI. Traitements précédents : AINS, myorelaxants, antalgiques, repos, kinésithérapie... avec pour seul résultat une atténuation des symptômes.
Application de la méthode Furter dans la région lombaire et fessière gauche. Nombre de séances : 4.
Résultat : disparition des douleurs. Recul : 3 ans et demi.
Même patient, douleurs thoraciques gauches récentes avec irradiation dans le bras gauche, avec anxiété importante (antécédents familiaux : père IDM)
Application de la méthode sur la région du muscle Grand Pectoral gauche.
Nombre de séances : 4
Résultat : disparition des symptômes. Recul : 2 ans et demi.
Réf. : CC N°040
Homme, 45 ans.
Radiographies : début de coxarthrose bilatérale.
Après huit séances sur les muscles lombo-sacrés et le haut des grands fessiers.
Cliniquement : disparition des douleurs.
Radiologiquement : disparition des signes de coxarthrose (radiographies effectuées par le même radiologue).
Réf. : CC N°041
Madame M.-J. G. 44 ans. TDM du 1er juillet 1999 : volumineuse hernie discale L5 S I gauche, refoulant la racine S 1.
Après cinq séances sur les muscles lombo-sacrés et pyramidal gauche : arrêt des antalgiques et disparition des douleurs.
TDM de novembre 1999 : régression de la hernie discale.
Réf. : CC N°101
Homme, 42 ans. Diagnostic du médecin orthopédique : spondylarthrite ankylosante. Le malade avait pris pendant beaucoup d’années de la salazopyrine, néanmoins il avait une rachialgie de toute la colonne complète qui lui permettait seulement peu de mouvements et surtout très limités. Dans ce cas, vu que la littérature donne peu de possibilités du pronostic, j'ai eu beaucoup d'hésitation à entreprendre le traitement. Je l'ai traité longtemps (24 séances) sur la hanche gauche et le tronc entier. Pendant le traitement le malade a arrêté de son propre gré la salazopyrine et à la fin il a acquis l’agilité de son âge et sans douleur.
Réf. : CC N°024
Patient de 54 ans. Depuis environ 6 mois il a des épisodes d'amnésie totale d’une durée de 2 heures chacune. Des examens sont réalisés qui ne montrent pas de pathologie. Après plusieurs visites chez des spécialistes et avoir essayé des thérapies pharmacologiques la situation clinique ne s’améliore pas. Interrogé, le patient dit que les crises de son amnésie commencent derrière le haut du cou.
Après six traitements de thérapie manuelle la symptomatologie disparaît complètement.
Actuellement le patient est en bonne santé et n'a plus de crise d'amnésie.
N
Réf. : CC N°043
Cheminot de 42 ans sans antécédents particuliers, souffrant de crises de névralgie faciale essentielle. Pathologie très invalidante évoluant par séries de crises, parfois subintrantes sur plusieurs semaines, entrecoupées d'accalmies relatives.
Le patient souffre depuis 15 années et déclare avoir "tout essayé" sans amendement notable sur la fréquence, la durée ou l’intensité des crises. Essai de TEGRETOL* et LAROXYL* en traitements de fond : pas d'effet significatif noté. Divers médicaments utilisés en crise ACUPAN*, SOLUMEDROL*, IMIJECT (sumatripan) nécessitant parfois 3-4 injections sur 24 heures.
Traitement manuel : 13 séances crânio-cervicales espacées de 8-10 jours chacune.
Espacement et amendement des crises dès la 4ème séance.
Consolidation obtenue sans traitement complémentaire, avec disparition complète des crises.
Recul de 2 ans.
Réf. : CC N°038
Un cas d'épistaxis et sinusite traité par la méthode Furter.
Monsieur D. vient me consulter le 30.8.1996 pour des douleurs de sinusite chronique et des épistaxis rebelles qui le gênent depuis plus de deux ans.
Il s'agit d1un homme de 70 ans, ancien plongeur professionnel dans la Marine, qui semble accablé dès son entrée dans mon cabinet. Le regard éteint, ne semblant plus savoir que faire pour s’en sortir.
"J'ai consulté trois O.R.L. différents en 6 mois, j'ai été hospitalisé, j'ai eu plusieurs traitements (médicaments et cautérisations) sans succès".
Il a même eu recours au SAMU pour une épistaxis particulièrement importante (sans pour autant avoir eu besoin de transfusion).
Sa sinusite le fait souffrir au niveau frontal et occipital ; des écoulements nasaux surtout postérieurs le gênent considérablement pour respirer, surtout la nuit. Se moucher ne lui dégage absolument pas les voies aériennes.
Ses épistaxis surviennent indépendamment des douleurs, à n'importe quelle heure du jour et de la nuit, avec ou sans effort physique, à l'intérieur comme à l'extérieur de son domicile dont il ne s'éloigne plus, de peur d'une hémorragie importante.
Je lui fais une séance Furter occipitale et frontale le 2.9, le 9.9, et le 13.9 sans trop de résultat.
Le 25.9, pour la 4ème séance, il me dit ressentir une très nette amélioration depuis quelques jours : il peut mieux respirer, en se mouchant, il peut évacuer des mucosités et s'il saigne du nez, cela ne dure pas longtemps.
Le 1.11.96, soit un mois et demi plus tard, il n'a saigné qu'une seule fois, et son nez ne se bouche que du côté où il est couché.
Le 3.1.97, "amélioration extra", juste quelques gouttes de sang. Il peut dormir en respirant par le nez. Cela fait des années que ça ne lui était pas arrivé. Séance le 28.2.97, il me dit revivre depuis qu'il vient me consulter et il vient faire une séance pour se "sentir" mieux.
Le 9.12.97, il vient me demander une séance avant son départ en vacances : son nez se bouche un peu du côté où il est allongé, et quand il se mouche fort, il peut avoir quelques gouttes de sang qui strient les mucosités.
Je le vois en fait environ deux fois par an, pour des symptômes maintenant anodins. C'est à mon sens suffisant, en comparaison de ses troubles antérieurs, pour pouvoir parler de succès, et en mono thérapie, avec amélioration de symptômes physiques et psychologiques.
P
Réf. : CC N°107
Une de mes patientes, 72 ans, souffrait depuis des mois de problèmes cardiaques (Tachycardie, palpitations, dyspnée, modification de la tension artérielle, vertiges périodiques). Je l'avais visitée plusieurs fois pour ne trouver aucune maladie organique (RX, ECG, etc.). Donc, j'avais diagnostiqué « problèmes Psychosomatiques » sans aucune amélioration. Elle m’avait signalé une zone un peu enflée et douloureuse sur le thorax gauche, dans la région cardiaque. Je lui avais dit de ne pas s'inquiéter parce que c'était une tension musculaire simple. Après avoir appris la méthode du Dr Furter, j'ai eu l'occasion de revoir cette patiente. Elle se plaignait toujours des mêmes problèmes. La première chose que je lui ai dit : " Mme, vous avez raison de vous plaindre ; maintenant, je pense pouvoir vous aider, nous utiliserons un autre type de thérapie ".
Nous avons pratiqué 3 séances de méthode Furter sur la zone dont la dame se plaignait (thorax antérieur gauche dans la zone para cardiaque) et tous ses problèmes ont disparu.
Nous avons traité environ 30 cas semblables ; le nombre des séances a été en moyenne de 4, avec autour de 90% de succès.
Réf. : CC N°088
Sexe féminin. 37 ans.
Phobie (terreur des serpents). 1ère visite : septembre 99.
Symptômes : un jour par inadvertance elle touche avec le pied un serpent et cela provoque un état de tétanisation des muscles avec difficulté pour respirer.
Thérapie : traitée au sternum, sur les clavicules droite et gauche, la zone centrale du front pendant 22 séances hebdomadaires.
Résultat : après la 1ère séance elle respire mieux, cependant le traitement a continué 22 semaines. Au printemps elle a vu un serpent et elle n'a pas eu de grands problèmes. En été, elle a encore rencontré un serpent et elle est restée indifférent.
Contrôles : en septembre 2000 elle me téléphone pour me dire qu’elle est satisfaite du traitement parce qu'elle n'a plus peur des serpents et elle n’a pris aucun médicament ni fait de visites psychiatriques.
Réf. : CC N°049
Mr C. L. né en 1931. Antécédents : ulcère duodénal en 1964 plus une dépression nerveuse.
Double pontage coronarien, artérite, psoriasis. Périmètre de marche = 200 mètres.
Consulte le 28 septembre 1998 pour une douleur invalidante sous la plante du pied gauche et des crampes empêchant toute marche.
Après 3 séances (28/09/98 ; 6/10/98 ; 17/11/98) il peut marcher et piétiner, il reste encore le problème des crampes.
Le 7/1/99 renversé par une voiture, fracture du gros orteil gauche. Après consolidation il revient le 6/7/99 pour une douleur du mollet droit d’origine artérielle. Les pouls sont très faibles.
Séances les 6/7/99, 22/7/99, 19/8/99 ; le 21/9/99.
Son périmètre de marche est passé à 1,5 Km au lieu de 200 mètres. Traitement pharmacologique suivi : Ticlid Fonzylane Fluodil.
Réf. : CC N°006
Mme O., 64 ans consulte en août 1999 pour une épine calcanéenne bilatérale bien visible sur les radiographies.
Seul le talon droit est douloureux, au point qu’elle a beaucoup de peine à marcher. Elle vient de consulter un chirurgien qui lui conseille de se faire opérer rapidement.
Toute la zone autour de l’épine calcanéenne droite est très sensible.
2 séances de 20 minutes chacune à ce niveau ont fait complètement disparaître les douleurs, et permis à cette dame de reprendre ses longues promenades dans la montagne.
Réf. : CC N°121
Mr R. présente depuis 2 ans une douleur intense du pied gauche avec un important œdème qui le gêne beaucoup pour marcher, tous les traitements essayés jusque là sont inefficaces et je demande une scintigraphie osseuse qui confirme qu’il s’agit bien d’une algo-neurodystrophie réflexe.
Bien que la doctrine en médecine classique soit de ne pas faire de rééducation ni massage, ni aucun traitement physique, je le traite quand même. A ma grande surprise et à la grande satisfaction du patient, dès la première séance, l’œdème disparaît. Dès la 2ième séance le volume de son pied gauche est redevenu identique à celui du pied droit mais surtout la douleur a complètement disparu et le patient remarche tout à fait normalement, ce qu’il n’avait plus fait depuis 2 ans.
Réf. : CC N°037
Homme de 20 ans, étudiant, présentant une anxiété importante et un besoin très fréquent d’uriner.
Pollakiurie notamment le matin, perturbant de façon notable sa présence aux cours.
Douleurs abdominales sous-ombilicales.
Traitements antérieurs : antispasmodiques, phytothérapie ; effet quasi nul.
Application de la méthode Furter dans la région sus pubienne.
Nombre de séances : 1
Résultat : disparition des symptômes.
Recul : 3 ans.
Réf. : CC N°094
Femme, 36 ans, artisane. Diagnostic : cystite récidivante. 1ère visite : juin 2000.
Symptômes : tous les 15 ou 20 jours, cystite avec dysurie et pollakiurie.
Thérapie : traitée avec la méthode Furter sur la zone du pubis droite et gauche.
Résultat : les symptômes sont améliorés après la 1ère séance. 4 séances au total.
Contrôle : le 18.12.2000. Elle n'a pas eu de problèmes à la vessie.
Réf. : CC N°093
75 ans, retraité.
Diagnostic : hypertrophie de la prostate. 1ère visite : juin 2000.
Symptômes : 4 à 5 mictions la nuit et autour de 6 à 7 le jour.
Thérapie : traité sur le pubis 4 séances.
Résultat : après la 1ère séance les mictions nocturnes diminuent, après la 4ème séance l’amélioration des symptômes est notable autant de nuit que de jour.
Contrôle : en octobre 2000 il va toujours bien.
Réf. : CC 2024.11.06
Traduit de l’allemand (version originale ci-dessous)
Homme 32 ans
Fortes douleurs de la prostate après les rapports sexuels. Valeurs PSA ok. Pas d'augmentation de la taille. Le patient a consulté 5 urologues différents pendant plusieurs années. Divers médicaments puissants, aucun soulagement.
Quatre traitements, le problème est résolu. Revient environ tous les 2 à 3 mois pour un traitement complémentaire et n'a donc plus de symptômes.
Mann 32 Jahre
Starke Prostataschmerzen nach dem Geschlechtsverkehr. PSA Werte ok. Keine Vergrößerung. Der Patient war über mehrere Jahre bei 5 verschiedenen Urologen. Verschiedenste starke Medikamente, keine Linderung.
4 Behandlungen, Problem beseitigt. Kommt ca. alle 2 bis 3 Monate einmal zum Nachbehandeln und ist damit beschwerdefrei.
R
Réf. : CC N°074
Age : 24 ans
Diagnostic : ovaire micropolykystique. 1ère visite : janvier 1999.
Symptômes : cycle irrégulier, règles douloureuses, acné, maux de tête. Traitée depuis 2 ans avec thérapie hormonale sans résultats ni pour le cycle ni pour l'acné.
Thérapie : traitée au-dessus du pubis, bilatérale, 12 séances hebdomadaires.
Résultats : après la 4ème séance disparition des maux de tête et le cycle est devenu régulier ; après la 8ème séance le flux est normal ; après la 10ème session l'acné a disparu.
Contrôle : mars 2000. Le cycle est toujours régulier, le flux est normal, l'acné absent.
Réf. : CC N°075
Etudiante. 18 ans.
Diagnostic : ovaire polykystique. 1ère visite : janvier 98.
Symptômes : menstruations toujours en retard et douloureuses, léger hirsutisme.
Thérapie : traitée des deux côtés à 4 travers de doigts au-dessous du nombril. En tout, 12 séances.
Résultats : le cycle se normalise et la douleur disparaît.
Décembre 98, échographie de contrôle : "Présence de microkystes sur les deux ovaires".
Juin 99, échographie de contrôle : la présence de microkystes n'est plus remarquée.
Le malade rapporte : "J’ai mon cycle sans m’en rendre compte".
Réf. : CC N°085
Age : 31 ans.
Diagnostic : dysménorrhée. 1ère visite : mars 99.
Symptômes : cycle très douloureux et irrégulier en quantité et durée.
Thérapie : traitée à l'hypocondre droit, 5 séances.
Résultats : les douleurs ont disparu, cycle régulier en fréquence et durée.
Contrôle : mai 2000, absence de problèmes.
Réf. : CC N°001
Madame C. J. âgée de 44 ans, vient en consultation, en juin 1997, pour des règles douloureuses, abondantes qui durent 7 à 10 jours.
L'échographie pratiquée par la gynécologue montre un utérus fibromateux, augmenté de volume. Elle prend du Méthergin pour stopper les métrorragies.
Après 4 séances de méthode Furter, au niveau du bas ventre, à 3 semaines d'intervalle, les règles sont redevenues normales et indolores.
Une nouvelle échographie pratiquée 6 mois plus tard, par la même gynécologue, montre une diminution de l'épaisseur utérine de 18 mm. Actuellement avec 2 ans de recul les résultats sont maintenus.
Réf. : CC N°085
Age : 31 ans.
Diagnostic : dysménorrhée. 1ère visite : mars 99.
Symptômes : cycle très douloureux et irrégulier en quantité et durée.
Thérapie : traitée à l'hypocondre droit, 5 séances.
Résultats : les douleurs ont disparu, cycle régulier en fréquence et durée.
Contrôle : mai 2000, absence de problèmes.
Réf. : CC N°108
Mme R. T., vient en consultation perplexe. Elle avait consulté un gynécologue pour sa fille de 15 ans, qui depuis quelque mois souffre de dysménorrhée. Le gynécologue avait trouvé un utérus antéfléchi et il lui avait proposé un contraceptif. Mais, la dame dit : « Je ne suis pas convaincue : si la dysménorrhée est due à l'utérus antéfléchi pourquoi ma fille, jusqu'il y a quelque mois, ne s'est pas plaint ? » Elle ajoute : « Il y a un autre problème : elle a toujours mal au ventre, elle mange très peu, elle est très nerveuse, nous nous querellons toujours ». Je lui dis de m’amener sa fille pour la traiter avec la méthode du Dr Furter. Au rendez-vous la fille confirme ce que sa mère m'avait dit, mais elle ajoute une phrase significative : « Docteur, je n'ai pas mal au ventre à cause de ma nervosité, mais je suis nerveuse parce que j'ai toujours mal au ventre ».
Nous avons pratiqué 4 séances avec la méthode sur la zone épigastrique et hypogastrique ; le mal au ventre, la dysménorrhée, et la nervosité ont disparu ; elle ne se bagarre plus avec sa mère. Après environ 2 ans, la fille continue à aller bien.
Nous avons traité 15 cas comme celui-ci : le nombre de séances ont été en moyenne de 4 à 5, avec un 100% de succès.
Réf. : CC N°001
Madame C. J. âgée de 44 ans, vient en consultation, en juin 1997, pour des règles douloureuses, abondantes qui durent 7 à 10 jours.
L'échographie pratiquée par la gynécologue montre un utérus fibromateux, augmenté de volume. Elle prend du Méthergin pour stopper les métrorragies.
Après 4 séances de méthode Furter, au niveau du bas ventre, à 3 semaines d'intervalle, les règles sont redevenues normales et indolores.
Une nouvelle échographie pratiquée 6 mois plus tard, par la même gynécologue, montre une diminution de l'épaisseur utérine de 18 mm. Actuellement avec 2 ans de recul les résultats sont maintenus.
Réf. : CC N°095
Étudiante, 22 ans.
Diagnostic : aménorrhée primaire. 1ère visite : janvier 1996.
Symptômes : absence totale du cycle menstruel. Elle a subi toutes les analyses de laboratoire depuis l’age de 14 ans, sans obtenir un diagnostic définitif. Traitée avec thérapie hormonale depuis 7 années. Quand elle arrête la médication hormonale le cycle s'arrête.
Thérapie : traitée dans la zone du pubis droite et gauche pendant 5 séances hebdomadaires.
Résultat : après la 5ème séance elle a eu un cycle très rare qui a duré 1 jour. Le mois suivant, elle présente un cycle de 35-40 jours et ceci jusqu'au mois de juin 1999.
En juin 99 le cycle s’arrête à nouveau. Le traitement Furter recommence encore une fois en septembre 99 pour 4 séances et le cycle menstruel réapparaît.
Contrôle : décembre 2000 elle continue à avoir un cycle de 35 jours.
Réf. : CC N°085
Age : 31 ans.
Diagnostic : dysménorrhée. 1ère visite : mars 99.
Symptômes : cycle très douloureux et irrégulier en quantité et durée.
Thérapie : traitée à l'hypocondre droit, 5 séances.
Résultats : les douleurs ont disparu, cycle régulier en fréquence et durée.
Contrôle : mai 2000, absence de problèmes.
Réf. : CC N°108
Mme R. T., vient en consultation perplexe. Elle avait consulté un gynécologue pour sa fille de 15 ans, qui depuis quelque mois souffre de dysménorrhée. Le gynécologue avait trouvé un utérus antéfléchi et il lui avait proposé un contraceptif. Mais, la dame dit : « Je ne suis pas convaincue : si la dysménorrhée est due à l'utérus antéfléchi pourquoi ma fille, jusqu'il y a quelque mois, ne s'est pas plaint ? » Elle ajoute : « Il y a un autre problème : elle a toujours mal au ventre, elle mange très peu, elle est très nerveuse, nous nous querellons toujours ». Je lui dis de m’amener sa fille pour la traiter avec la méthode du Dr Furter. Au rendez-vous la fille confirme ce que sa mère m'avait dit, mais elle ajoute une phrase significative : « Docteur, je n'ai pas mal au ventre à cause de ma nervosité, mais je suis nerveuse parce que j'ai toujours mal au ventre ».
Nous avons pratiqué 4 séances avec la méthode sur la zone épigastrique et hypogastrique ; le mal au ventre, la dysménorrhée, et la nervosité ont disparu ; elle ne se bagarre plus avec sa mère. Après environ 2 ans, la fille continue à aller bien.
Nous avons traité 15 cas comme celui-ci : le nombre de séances ont été en moyenne de 4 à 5, avec un 100% de succès.
Réf. : CC N°074
Age : 24 ans
Diagnostic : ovaire micropolykystique. 1ère visite : janvier 1999.
Symptômes : cycle irrégulier, règles douloureuses, acné, maux de tête. Traitée depuis 2 ans avec thérapie hormonale sans résultats ni pour le cycle ni pour l'acné.
Thérapie : traitée au-dessus du pubis, bilatérale, 12 séances hebdomadaires.
Résultats : après la 4ème séance disparition des maux de tête et le cycle est devenu régulier ; après la 8ème séance le flux est normal ; après la 10ème session l'acné a disparu.
Contrôle : mars 2000. Le cycle est toujours régulier, le flux est normal, l'acné absent.
Réf. : CC N°075
Etudiante. 18 ans.
Diagnostic : ovaire polykystique. 1ère visite : janvier 98.
Symptômes : menstruations toujours en retard et douloureuses, léger hirsutisme.
Thérapie : traitée des deux côtés à 4 travers de doigts au-dessous du nombril. En tout, 12 séances.
Résultats : le cycle se normalise et la douleur disparaît.
Décembre 98, échographie de contrôle : "Présence de microkystes sur les deux ovaires".
Juin 99, échographie de contrôle : la présence de microkystes n'est plus remarquée.
Le malade rapporte : "J’ai mon cycle sans m’en rendre compte".
Réf. : CC N°085
Age : 31 ans.
Diagnostic : dysménorrhée. 1ère visite : mars 99.
Symptômes : cycle très douloureux et irrégulier en quantité et durée.
Thérapie : traitée à l'hypocondre droit, 5 séances.
Résultats : les douleurs ont disparu, cycle régulier en fréquence et durée.
Contrôle : mai 2000, absence de problèmes.
S
Réf. : CC N°013
Homme, 75 ans. Envoyé par sa fille médecin pour sciatique L5, mais surtout cervico-brachialgie depuis des mois sans amélioration. Avis d’un prof. de chirurgie orthopédique : « canal cervical étroit ».
4 séances cervicodorsales : disparition complète des douleurs.
Il revient pour ses lombaires : 4 séances, il va bien.
Réf. : CC N°021
Femme, 71 ans, retraitée. Douleurs lombaires et sciatique. 1ère visite : en septembre 98.
Symptômes : incapable de marcher à cause de douleurs violentes, localisées au côté droit de la fesse et à la jambe droite.
Thérapie : traitement à la fesse droite et hanche droite, 3 séances à raison d’une par semaine.
Résultats : après la 1ère séance elle peut marcher seule, après la 3ème séance les symptômes ont complètement disparu. Contrôle en septembre 99 : la femme me confirme son bien-être.
Réf. : CC N°059
Me S. K. est une sympathique sexagénaire, ancienne institutrice à la retraite, et dont la passion est la randonnée en montagne. Malheureusement pour elle depuis 2 ans, elle ne peut plus marcher car après un effort de soulèvement, elle est atteinte d’une sciatique paralysante hyper algique et invalidante avec steppage du pied gauche.
Elle est suivie depuis 2 ans par un rhumatologue réputé qui à la fin lui dit : « Je vous hospitalise 2 mois à l’hôpital thermal d’Uriage avec rééducation intensive. Si au bout de cette période vous n’allez pas mieux je vous confierai à un neurochirurgien pour vous opérer. »
Après les 2 mois d’hospitalisation pas de mieux, mais un de ses voisins, sportif de haut niveau que je soigne régulièrement, lui donne mon adresse.
A la fin de la première séance (longue), elle peut lever son pied gauche et marcher sur les talons. Après la troisième séance elle me dit qu’elle a fait 6 kilomètres de marche en montagne. A chaque nouvelle séance une légère amélioration et après une dizaine de séances elle se sent suffisamment bien pour cesser de venir.
Je viens de la revoir après un an. Elle est sans problème. Elle revient car elle a fait une légère rechute douloureuse dans la cuisse gauche après avoir déménagé des meubles, mais sans steppage.
Réf. : CC N°060
Mr. G. R. est un jeune chercheur brésilien de 32 ans. Il est venu un an en France pour faire une thèse en physique nucléaire au synchrotron de Grenoble. Il a fait un effort en déplaçant des ordinateurs et se trouve complètement bloqué, il ne peut ni s’asseoir ni se tenir allongé. Il vit un enfer du fait de cette sciatique paralysante droite.
Il consulte un rhumatologue et un scanner montre une volumineuse hernie discale contraignante. L’indication opératoire est vite posée par le neurochirurgien correspondant du rhumatologue.
Mr Gu. R est désespéré car il ne pourra terminer sa thèse à temps, perdra donc sa bourse, se retrouvera sans ressources et devra peut-être rembourser le gouvernement brésilien qui avait financé son séjour en France.
Un de ses collègues de laboratoire me l’amène en urgence. Quand il rentre dans mon bureau il refuse de s’asseoir du fait de la douleur.
Je commence la séance tout de suite avec la méthode Furter. Pour passer le temps et lui faire oublier la douleur, je lui pose plein de questions sur le Brésil.
A la fin de la séance, machinalement, sans y penser, il s’assied sur la chaise devant mon bureau pour signer le chèque. Je lui fais remarquer qu’il s’était assis et il n’en revenait pas car cela faisait une semaine que cela ne lui était pas arrivé.
Il est revenu 3 fois en tout et a pu terminer à temps sa thèse.
Avant de retourner dans son Brésil natal, il m’a apporté un magnifique Toucan en porcelaine, symbole de la province du Nord-est dont il est originaire.
Réf. : CC N°119
Mr B. mesure 1.74 et pèse 100 kg. Il présente une sciatique hyper algique L5 droite suite à un effort de soulèvement. Le traitement médical restant inefficace, le scanner prescrit révèle une hernie discale L5 droite qui sera enlevée chirurgicalement en mai 2000. Les suites opératoires sont marquées par une impotence fonctionnelle douloureuse majeure lombo-sciatalgie tronquée à la fesse gauche donc opposée au côté opéré, imposant la restriction de toute activité et nécessitant des antalgiques palier 2 et des AINS quotidiens.
Le 22 septembre 2000 je lui propose une séance selon la technique du Dr Furter. La zone traitée se situe au niveau du pyramidal gauche et dans la zone gauche de la cicatrice opératoire. Revu le 30 09 00, il est amélioré à 60%. Une nouvelle séance a lieu le 17 10 00, l'amélioration est conséquente et Mr B. envisage la possibilité de reprendre son travail, ce qui sera effectif le 18 11 00 après une dernière séance le 13 11 00. Mr B. aura eu au total 4 séances.
Actuellement, M. B revu régulièrement va bien et peut effectuer toutes les activités qu'il désire.
Réf. : CC N°102
Femme, 65 ans. Une sciatique la fait souffrir depuis 2 années. Ayant un fils médecin et des bonnes possibilités économiques, elle avait déjà consulté les experts les plus connus en Europe et aux États-Unis. Puisqu'ils lui avaient trouvé une petite hernie discale (si petite que dans un contrôle successif elle avait disparue) elle était attendue aux États-Unis pour une intervention. La malade avait suivi de nombreuses thérapies, même alternatives, pourtant je l'ai connue avec un grand buste clôturé et elle n'était pas toujours capable de marcher pour plus de 40-50 mètres. J'ai commencé à traiter sa jambe droite. Après seulement 2 séances de son propre gré elle a enlevé le buste. Après la 4ième séance elle a marché sans problèmes pour plus d’une heure. À la fin du traitement le résultat était excellent. Une année plus tard le problème réapparaît mais pas si dramatique comme avant. J'ai continué le traitement et la situation s'est à nouveau améliorée. Pourtant je n'ai pas réussi à éliminer une douleur résiduelle qui apparaît dans un point précis de la cuisse quand la patiente marche trop longtemps. Je continue à la traiter, mais j'ai l'impression que le muscle ou tissu conjonctif douloureux est trop profond pour être atteint par le traitement.
Réf. : CC N°002
L'enfant C.M. âgée de 10 ans, présente une scoliose lombaire à concavité gauche. Elle est suivie par le CHU de Lille. Devant l'aggravation rapide de cette scoliose (accentuation de l'angle de Cobb, passé à 150 en quelques mois), un corset 3 D a été prescrit, mais la jeune fille ne le porte qu'occasionnellement car mal supporté.
Nous avons appliqué la méthode au niveau du rachis dorsolombaire en insistant aux endroits où nous percevions des contractures et plus particulièrement au niveau de la région lombaire gauche et le muscle carré des lombes qui était le siège d'une contracture importante.
Après une dizaine de séances, le bilan radiographique pratiqué un an après le début des séances montre, de face, une rectitude normale du rachis ; de profil il existe toujours un petit effacement de la cyphose dorsale et de la lordose lombaire physiologique.
Actuellement Magali a 15 ans et sa colonne vertébrale reste droite.
Réf. : CC N°081
Homme, 43 ans. Employé.
Diagnostic : sinusite chronique. 1ère visite : octobre 99.
Symptômes : nez toujours bouché avec inspiration difficile et céphalée presque tous les jours.
Thérapie : traité à la racine du nez, la pommette droite et gauche, la région frontale : 4 traitements hebdomadaires.
Résultats : après la 1ère séance amélioration de 10% ; après la 2ème séance il respire mieux ; après la 4ème il n'a plus de problèmes, son nez est libre.
Contrôle : octobre 2000. Pas de récidive et respire librement.
Réf. : CC N°038
Un cas d'épistaxis et sinusite traité par la méthode Furter.
Monsieur D. vient me consulter le 30.8.1996 pour des douleurs de sinusite chronique et des épistaxis rebelles qui le gênent depuis plus de deux ans.
Il s'agit d1un homme de 70 ans, ancien plongeur professionnel dans la Marine, qui semble accablé dès son entrée dans mon cabinet. Le regard éteint, ne semblant plus savoir que faire pour s’en sortir.
"J'ai consulté trois O.R.L. différents en 6 mois, j'ai été hospitalisé, j'ai eu plusieurs traitements (médicaments et cautérisations) sans succès".
Il a même eu recours au SAMU pour une épistaxis particulièrement importante (sans pour autant avoir eu besoin de transfusion).
Sa sinusite le fait souffrir au niveau frontal et occipital ; des écoulements nasaux surtout postérieurs le gênent considérablement pour respirer, surtout la nuit. Se moucher ne lui dégage absolument pas les voies aériennes.
Ses épistaxis surviennent indépendamment des douleurs, à n'importe quelle heure du jour et de la nuit, avec ou sans effort physique, à l'intérieur comme à l'extérieur de son domicile dont il ne s'éloigne plus, de peur d'une hémorragie importante.
Je lui fais une séance Furter occipitale et frontale le 2.9, le 9.9, et le 13.9 sans trop de résultat.
Le 25.9, pour la 4ème séance, il me dit ressentir une très nette amélioration depuis quelques jours : il peut mieux respirer, en se mouchant, il peut évacuer des mucosités et s'il saigne du nez, cela ne dure pas longtemps.
Le 1.11.96, soit un mois et demi plus tard, il n'a saigné qu'une seule fois, et son nez ne se bouche que du côté où il est couché.
Le 3.1.97, "amélioration extra", juste quelques gouttes de sang. Il peut dormir en respirant par le nez. Cela fait des années que ça ne lui était pas arrivé. Séance le 28.2.97, il me dit revivre depuis qu'il vient me consulter et il vient faire une séance pour se "sentir" mieux.
Le 9.12.97, il vient me demander une séance avant son départ en vacances : son nez se bouche un peu du côté où il est allongé, et quand il se mouche fort, il peut avoir quelques gouttes de sang qui strient les mucosités.
Je le vois en fait environ deux fois par an, pour des symptômes maintenant anodins. C'est à mon sens suffisant, en comparaison de ses troubles antérieurs, pour pouvoir parler de succès, et en mono thérapie, avec amélioration de symptômes physiques et psychologiques.
Réf. : CC N°059
Me S. K. est une sympathique sexagénaire, ancienne institutrice à la retraite, et dont la passion est la randonnée en montagne. Malheureusement pour elle depuis 2 ans, elle ne peut plus marcher car après un effort de soulèvement, elle est atteinte d’une sciatique paralysante hyper algique et invalidante avec steppage du pied gauche.
Elle est suivie depuis 2 ans par un rhumatologue réputé qui à la fin lui dit : « Je vous hospitalise 2 mois à l’hôpital thermal d’Uriage avec rééducation intensive. Si au bout de cette période vous n’allez pas mieux je vous confierai à un neurochirurgien pour vous opérer. »
Après les 2 mois d’hospitalisation pas de mieux, mais un de ses voisins, sportif de haut niveau que je soigne régulièrement, lui donne mon adresse.
A la fin de la première séance (longue), elle peut lever son pied gauche et marcher sur les talons. Après la troisième séance elle me dit qu’elle a fait 6 kilomètres de marche en montagne. A chaque nouvelle séance une légère amélioration et après une dizaine de séances elle se sent suffisamment bien pour cesser de venir.
Je viens de la revoir après un an. Elle est sans problème. Elle revient car elle a fait une légère rechute douloureuse dans la cuisse gauche après avoir déménagé des meubles, mais sans steppage.
Rechercher par localisation :
" À quel endroit dans votre corps (où) ressentez-vous votre stress ? "
Pour comprendre l’approche du Dr Furter, nous vous invitions à lire ses écrits sur le STRESS (rubrique : LA MÉTHODE / Ecrits du Dr Furter).
T
Réf. : CC N°113
Femme 25 ans se plaint fréquemment de vertige, tête vide, concentration difficile, arythmie et tachycardie paroxystique.
La malade localise intuitivement l'origine des problèmes dans la tête et la région du cœur.
Par conséquent, nous avons vérifié les régions indiquées avec la thérapie manuelle et nous avons commencé à traiter les zones douloureuses avec le concept de la thérapie.
Après le 3ème traitement elle a déjà eu un soulagement général perceptible.
Après le 5ème traitement la patiente réfère un changement presque total de ses symptômes. Par sécurité, nous avons pratiqué une séance en plus afin d’assurer la présente condition. La thérapie était hebdomadaire.
La malade est jusqu'à aujourd'hui, 4 mois après traitement, sans rechutes. La jeune femme se sent bien et n’a pas de problèmes.
Elle dit : « Le travail est une source de joie et le stress devient clairement mieux toléré maintenant ».
Réf. : CC N°107
Une de mes patientes, 72 ans, souffrait depuis des mois de problèmes cardiaques (tachycardie, palpitations, dyspnée, modification de la tension artérielle, vertiges périodiques). Je l'avais visitée plusieurs fois pour ne trouver aucune maladie organique (examens RX, ECG, etc.). Donc, j'avais diagnostiqué « problèmes psychosomatiques » sans aucune amélioration. Elle m’avait signalé une zone un peu enflée et douloureuse sur le thorax gauche, dans la région cardiaque. Je lui avais dit de ne pas s'inquiéter parce que c'était une tension musculaire simple. Après avoir appris la méthode du Dr Furter, j'ai eu l'occasion de la revoir. Elle se plaignait toujours des mêmes problèmes. La première chose que je lui ai dit : " Mme, vous avez raison de vous plaindre ; maintenant, je pense pouvoir vous aider, nous utiliserons une autre thérapie ".
J’ai pratiqué 3 séances de thérapie manuelle Furter sur la zone dont la dame se plaignait (thorax antérieur gauche dans la zone para cardiaque) et tous ses problèmes ont disparus.
J’ai traité environ 30 cas semblables ; le nombre des séances a été en moyenne de 4, avec autour de 90% de succès.
Réf. : CC N°078
Femme. 45 ans. Employée.
Diagnostique : dyspnée et tachycardie. 1ère visite : Avril 99.
Symptômes : inquiétude avec dyspnée et tachycardie, 3 à 4 épisodes par jour en moyenne.
Thérapie : traitée sur la poitrine et sur le dos : 6 sessions hebdomadaires.
Résultats : les symptômes ont diminué après la 1ère session, ils ont disparu après la 4ème séance.
Contrôle : Octobre 99. Elle n'a plus de problèmes.
Réf. : CC N°028
Femme, née le 03/55. Doit bientôt se faire opérer des tendons du poignet et avant bras droit, à cause de tendinite douloureuse et invalidante. Elle est enseignante et écrit souvent au tableau.
Je lui propose la thérapie Furter. Elle accepte, on décommande le chirurgien.
9 séances entre le 01/04/98 et le 10/06/98 au poignet droit, avant bras droit, trapèze droit, épaule droite et même entre les omoplates, mais surtout avant bras droit.
Très bon résultat. Un an et demi de recul.
Réf. : CC N°033
Homme de 24 ans, footballeur. Douleurs de la face postérieure de la cuisse : tendinite des ischio-jambiers.
Durée des symptômes : plus de 6 mois. Amélioration par les AINS et le repos et rechute dès l'entraînement.
Application de la méthode Furter sur la face postérieure de la cuisse
Nombre de séance : 4
Résultat : disparition des douleurs.
Recul : 6 ans malgré la reprise du football.
Réf. : CC N°052
Mlle BA. Tendinite du droit antérieur au cours du stage préparatoire au championnat du monde de voltige équestre. La technique de thérapie manuelle utilisée tous les jours, mais avec une intensité modérée, a permis la poursuite de l’entraînement sans modifier le geste technique ni en quantité ni en qualité. La technique a été utilisée une ultime fois la veille de la compétition permettant la réalisation de la performance.
Réf. : CC N°096
Tennis Elbow droit suite tournoi en 1997 : arrêt du sport de juin à décembre 1997 (Atépadène, Piasclédine, Ketum, Flexor Tissugel).
La douleur du coude alterne avec celle du poignet ou de l'épaule en fonction du temps humide. Le sport (tennis intensif) est à nouveau impossible ; de plus, un arthro-scanner de l'épaule droite laisse des séquelles douloureuses.
Séance avec la méthode Furter les 19/05/1998, 25/05/1998, 15/06/1998, 16/06/1998, 7/07/1998.
Depuis, il rejoue 9 à 10 heures de tennis par semaine, peut frapper fort. Une petite douleur réapparaît parfois à l'épaule et au coude, mais elle disparaît spontanément s’il frappe un peu moins fort. N'est plus sensible aux variations climatiques.
Voir « Tendinite ».
Réf. : CC N°107
Une de mes patientes, Mme B. G. 72 ans, souffrait depuis des mois de problèmes cardiaques (tachycardie, palpitations, dyspnée, modification de la tension artérielle, vertiges périodiques). Je l'avais visitée plusieurs fois pour ne trouver aucune maladie organique (examens RX, ECG, etc.). Donc, j'avais diagnostiqué « problèmes psychosomatiques » sans aucune amélioration. Elle m’avait signalé une zone un peu enflée et douloureuse sur le thorax gauche, dans la région cardiaque. Je lui avais dit de ne pas s'inquiéter parce que c'était une tension musculaire simple. Après avoir appris la méthode du Dr Furter, j'ai eu l'occasion de la revoir. Elle se plaignait toujours des mêmes problèmes. La première chose que je lui ai dit : " Mme, vous avez raison de vous plaindre ; maintenant, je pense pouvoir vous aider, nous utiliserons une autre thérapie ".
J’ai pratiqué 3 séances de thérapie manuelle Furter sur la zone dont la dame se plaignait (thorax antérieur gauche dans la zone para cardiaque) et tous ses problèmes ont disparus.
J’ai traité environ 30 cas semblables ; le nombre des séances a été en moyenne de 4, avec autour de 90% de succès.
Réf. : CC N°035
Femme de 38 ans, elle présente des accès de toux survenant par crises, de jour et de nuit depuis l’âge de 15 ans environ. Survenue des accès pendant plusieurs semaines ou mois, sans régularité ; début et fin brusques.
Bilan effectué dès l’adolescence : radios et tests divers aux résultats normaux. Echec de tous les traitements médicamenteux entrepris, sauf ATARAX (Hydroxyzine) à la posologie moyenne quotidienne de 50 mg, qui permet de diminuer et d’écourter les accès (sans pour autant les faire disparaître).
Application de la méthode dans la région cervicale antérieure. Nombre de séance : 6.
Résultat : disparition de la toux. Recul : 11 mois.
U
Réf. : CC N°079
Femme 63 ans.
Diagnostic : ulcère duodénal. 1ère visite : avril 99.
Symptômes : ballonnements et douleurs dans la région épigastrique après les repas, acidité gastrique continue.
Thérapie : traitée dans la région épigastrique par 4 sessions hebdomadaires.
Résultats : les symptômes ont complètement disparu après la 3ème séance.
Contrôle : juillet 2000. Elle n'a pas eu de récidives et n'a pas de problèmes, elle mange de tout.
Réf. : CC N°077
Homme 32 ans.
Diagnostic : ulcère duodénale. 1ère visite : juillet 99.
Symptômes : épigastralgie depuis 5 ans.
Thérapie : traitement dans la région épigastrique par 4 sessions hebdomadaires.
Résultats : les douleurs ont disparu après la 1ère séance.
Contrôle : récidive légère pendant 1 jour en septembre 2000. Actuellement : plus de problème.
V
Réf. : TP 2024.07.02
Annick, 92 ans : témoignage vidéo
Réf. : CC N°082
Homme, 57 ans. Ouvrier. Diagnostic : vertiges. 1ère visite : octobre 1999.
Symptômes : vertiges lors de mouvements, tête engourdie comme si elle était endormie.
Thérapie : traité sur le côté droit et gauche de la nuque et sur le sterno-cléido-mastoïdien gauche. 3 séances hebdomadaires.
Résultats : vertiges diminués après la 1ère séance. Disparaissent après la 3ème séance.
Contrôle : mars 2000. Aucun problème.
Réf. : CC N°083
Homme, 44 ans. Informateur scientifique. Diagnostic : vertige avec cervicalgies.
1ère visite : juillet 1999.
Symptômes : douleurs continuelles au cou et vertiges qui l’empêchent de conduire la voiture.
Thérapie : traité à droite et gauche de la nuque par 3 traitements hebdomadaires.
Résultats : amélioré après la 1ère séance et problèmes supprimés après la 3ème séance.
Contrôle : octobre 2000. Elle est très satisfaite maintenant et elle m’envoie d'autres malades.
Réf. : CC N°070
Etudiante. 21 ans. 1ère visite : avril 98.
Symptômes : depuis 6 années elle présente des céphalées avec fièvre n.d.d.
Elle est traitée dans plusieurs hôpitaux de Rome, sans résultat et sans qu’il soit possible de trouver une étiologie à sa fièvre. Elle souffre de vertiges, acouphènes, inquiétude, asthénie, douleurs à l’épaule droite.
Thérapie : traitée au cou, épaule droite, région frontale.
Résultats : améliorations après la 2ème séance ; après la 4ème session, seuls les acouphènes persistent.
Contrôle : en juillet 2000, elle a de très rares épisodes de céphalée et de légers acouphènes.
Elle est très satisfaite : "Depuis 1998 j'ai commencé à revivre".
Réf. : CC N°113
Femme 25 ans se plaint fréquemment de vertige, tête vide, concentration difficile, arythmie et tachycardie paroxystique.
La malade localise intuitivement l'origine des problèmes dans la tête et la région du cœur.
Par conséquent, nous avons vérifié les régions indiquées avec la thérapie manuelle et nous avons commencé à traiter les zones douloureuses avec le concept de la thérapie.
Après le 3ème traitement elle a déjà eu un soulagement général perceptible.
Après le 5ème traitement la patiente réfère un changement presque total de ses symptômes. Par sécurité, nous avons pratiqué une séance en plus afin d’assurer la présente condition. La thérapie était hebdomadaire.
La malade est jusqu'à aujourd'hui, 4 mois après traitement, sans rechutes. La jeune femme se sent bien et n’a pas de problèmes.
Elle dit : « Le travail est une source de joie et le stress devient clairement mieux toléré maintenant ».
Réf. : CC N°107
Une de mes patientes, 72 ans, souffrait depuis des mois de problèmes cardiaques (tachycardie, palpitations, dyspnée, modification de la tension artérielle, vertiges périodiques). Je l'avais visitée plusieurs fois pour ne trouver aucune maladie organique (examens RX, ECG, etc.). Donc, j'avais diagnostiqué « problèmes psychosomatiques » sans aucune amélioration. Elle m’avait signalé une zone un peu enflée et douloureuse sur le thorax gauche, dans la région cardiaque. Je lui avais dit de ne pas s'inquiéter parce que c'était une tension musculaire simple. Après avoir appris la méthode du Dr Furter, j'ai eu l'occasion de la revoir. Elle se plaignait toujours des mêmes problèmes. La première chose que je lui ai dit : " Mme, vous avez raison de vous plaindre ; maintenant, je pense pouvoir vous aider, nous utiliserons une autre thérapie ".
J’ai pratiqué 3 séances de thérapie manuelle Furter sur la zone dont la dame se plaignait (thorax antérieur gauche dans la zone para cardiaque) et tous ses problèmes ont disparus.
J’ai traité environ 30 cas semblables ; le nombre des séances a été en moyenne de 4, avec autour de 90% de succès.
Réf. : CC N°072
Femme, 72 ans. 1ère visite : septembre 98.
Symptômes : vertiges à chaque mouvement au point de n’être plus autonome.
Thérapie : traitement du sterno-cléido-mastoïdien à gauche et à droite ainsi que de la nuque. Trois séances hebdomadaires. Ensuite, en plus, 4 séances de traitement au niveau de la région inter scapulaire.
Résultats : après la 1ère séance elle a retrouvé son autonomie, cependant elle avait peur de marcher seule ; après la 3ème séance elle est complètement autonome.
Contrôle : octobre 2000, elle dit n’avoir pas eu de problèmes.
Y
Réf. : TP 2024.05.12
J'avais en effet à l'époque de grosses tensions oculaires persistantes après avoir dû travailler sous éclairage au néon.
Le traitement manuel a consisté en massages en périphérie du globe oculaire ainsi que de la zone sous occipitale.
La détente musculaire procurée ainsi que l'appel d'afflux sanguin par l'action mécanique ont en effet permis de retrouver un confort oculaire pour passer ce cap.
Dr CP
Réf. : CC N°062
Melle D. est une jeune lycéenne de 17 ans en terminale littéraire. Elle ne peut préparer normalement son bac du fait d’une uvéite très invalidante avec poussées hyper algiques. Le seul traitement proposé par le CHU est palliatif (injections de cortisone dans l’œil) et le chef du service d’ophtalmologie lui dit sans ménagement que son œil gauche est quasiment perdu et que le droit n’est pas mieux et que de toute façon elle terminera aveugle.
Elle est la nièce d’un confrère du nord de la France, il me l’adresse.
Rapidement, après les premières séances elle peut enfin lire normalement et rattraper son retard.
Quand elle est venue m’annoncer qu’elle était reçue au bac, j’étais aussi fier que si c’était ma fille.
Réf. : CC N°130
Homme, 65 ans. Il a été opéré d’un glaucome à angle fermé, de l’œil droit (l’œil gauche est malheureusement perdu).
Malgré une opération réussie, le patient a une vue brouillée du seul œil qui lui reste, il voit flou et il est gêné en permanence par des images flottantes. Je le traite et au bout de 5 séances il dit qu’il peut à nouveau lire et faire des mots croisés et revoir la télévision.
Réf. : CC N°063
Patiente, présente une uvéite. Elle va régulièrement se faire pratiquer des injections de cortisone quand elle a trop mal.
Elle "tombe" enceinte et la cortisone étant contre indiquée, elle cherche une autre solution. Elle va même consulter un spécialiste en Allemagne qui lui propose une greffe de rétine au cas où ça tournerait mal et qu’elle deviendrait aveugle. Il ne lui propose pas de traitement pour l’instant : il fallait attendre.
Une des ses amies me l’adresse.
Au fur et à mesure des séances sa vue s’améliore rapidement, les douleurs s’estompent et sa grossesse se déroule tout à fait normalement.
Réf. : CC N°064
Mme D. est une dynamique retraitée qui est atteinte de cataracte. Comme elle veut pouvoir conduire sa voiture elle se fait rapidement opérer.
Malheureusement le résultat est très mauvais et l’ophtalmologiste lui dit qu’en fait sa rétine est en mauvais état et qu’il n’y a rien à faire et qu’elle deviendra rapidement aveugle.
De ce fait elle se renferme chez elle et fait une forte dépression et ne s’alimente plus.
Par la suite, elle présente un abcès dentaire et consulte le dentiste à qui elle parle de ses problèmes oculaires. Celui-ci me l’adresse.
Rapidement sa vue s’améliore et elle reprend goût à la vie car elle conduit à nouveau sa voiture et elle peut rendre visite à ses amis et sa famille.
Réf. : CC N°065
Mr. M. P est atteint de glaucome à angle fermé. Le traitement médical n’étant pas suffisamment efficace il est opéré par un ophtalmologue réputé.
Malgré un bon résultat sur la pression intraoculaire, sa vue reste toujours brouillée et les traitements sont sans effet sur ce symptôme.
Je lui traite non seulement les yeux mais aussi la région occipitale. Sa vue s’améliore progressivement et il peut enfin lire et refaire les mots croisés.